mercredi 15 août 2012


Prière pour la neuvaine à la Fête de l’Assomption.

Les premières mentions d’une fête célébrant la mort et la glorification de Marie datent du Ve siècle,  au sanctuaire marial de Gethsémani. Au V1e siècle, cette fête du 15 août est unanimement admise à Jérusalem et entendue à tout l’Empire d’Orient par édit de l’Empereur, sous le vocable de ``Dormition`` ou de ``Repos``. Les premiers textes hésitent, de fait, entre le terme de Résurrection et celui d’Assomption. Que ce soit en Orient ou en Occident, cette fête devient rapidement une solennité majeure. Dès le V1e siècle, la liturgie romaine insiste sur l’Assomption corporelle de la Vierge et c’est en 1950 que Pie X11 proclame le dogme correspondant par la Bulle ``Munificentissimus Deus``.

Au terme de sa vie terrestre, l’Immaculée Mère de Dieu a été élevée en son corps et en son âme à la gloire du ciel.`` C’est en ces termes que la pape Pie X11 a défini la foi catholique relative à l’assomption de Marie (1950). Découlant de sa maternité divine, l’assomption de Marie est pour toute l’humanité un gage d’espérance, une promesse de résurrection.

Une femme dont on n’a rien dit,
Si ce n’est qu’elle est fiancée
Et qu’un ange lui vint annoncer :
``Te voilà entre toutes choisie.``

Refrain : Aujourd’hui
                La terre et le paradis
                La proclament heureuse et bénie :
                Bienheureuse Vierge Marie!

Une femme dont on n’a rien dit,
Si n’est qu’elle avait accouché
D’un garçon au pays de Judée;
Des bergers en ont fait le récit.       Refrain

Une femme dont on n’a rien dit,
Si ce n’est qu’elle a trois jours cherché
Son enfant qui semblait l’oublier,
Et son cœur n’y avait rien compris.     Refrain

Une femme dont on n’a rien dit,
Si ce n’est qu’elle était à Cana
Pour la noce où Jésus transforma
L’eau en vin et l’on put croire en lui.    Refrain

Une femme dont on n’a rien dit,
Si ce n’est sa présence à la croix,
Quand son Fils étendait ses deux bras
Pour mourir un milieu des bandits.   Refrain

Une femme dont on n’a rien dit,
Si ce N’est sa prière avec ceux
Que brûlèrent les langues de feu,
Baptisés du baptême en Esprit.  Refrain

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