Encore ce matin je viens te rencontrer
Avant que les soucis ne viennent m’accabler.
Je me tourne vers toi, mon Père bien-aimé,
Je veux te rendre grâce pour tous tes bienfaits.
Avant que les soucis ne viennent m’accabler.
Je me tourne vers toi, mon Père bien-aimé,
Je veux te rendre grâce pour tous tes bienfaits.
Merci pour le repos dans la nuit agitée
À cause des ennuis des caprices du corps.
Merci pour l’énergie que tu me donne encore,
pour les nouvelles forces que je veux employer.
À cause des ennuis des caprices du corps.
Merci pour l’énergie que tu me donne encore,
pour les nouvelles forces que je veux employer.
À te reconnaître, à te faire accepter
Je veux être attentif au souffle de ta voix,
Fidèle à tes attentes, à ta mission pour moi,
Fidèle à te servir malgré ma pauvreté.
Je veux être attentif au souffle de ta voix,
Fidèle à tes attentes, à ta mission pour moi,
Fidèle à te servir malgré ma pauvreté.
Je te présente ceux que tu me confieras.
Garde-les à l’abri du mal et du danger.
Je te confie aussi, je ne les oublie pas,
Ceux qui m’ont fait souffrir, ceux qui t’ont offensé.
Garde-les à l’abri du mal et du danger.
Je te confie aussi, je ne les oublie pas,
Ceux qui m’ont fait souffrir, ceux qui t’ont offensé.
À l’heure où tu t’incarneras dans le
pain et le vin,
Consacrés par mes mains au divin sacrifice,
Nous communierons au corps, au sang du Fils.
Et je m’inclinerai devant celui qui vient.
Consacrés par mes mains au divin sacrifice,
Nous communierons au corps, au sang du Fils.
Et je m’inclinerai devant celui qui vient.
Toi que rien ne surprend dans nos
comportements,
Je prends appui sur toi, sur ton commandement.
Je suis entre tes mains, je suis ton instrument,
La corde de ta harpe et l’écho de ton chant.
L’indigne serviteur qui laboure ton champ.
Je prends appui sur toi, sur ton commandement.
Je suis entre tes mains, je suis ton instrument,
La corde de ta harpe et l’écho de ton chant.
L’indigne serviteur qui laboure ton champ.
Nous
sommes des serviteurs quelconques.
Nous avons fait seulement ce que nous devions faire. Luc 17,10
Nous avons fait seulement ce que nous devions faire. Luc 17,10
Extrait
de son livre Prier dans la tourmente André Bisaillon
Le Messager de Saint-Antoine Juillet
–Août 2016
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire