mercredi 24 avril 2024

SAINT MARC, ÉVANGÉLISTE 25 Avril

 A propos de l’évangéliste saint Marc, né d’une famille juive aisée, on sait seulement ce qu’en disent les Actes des Apôtres et certaines lettres des saints Pierre et Paul ; il ne fut pas un disciple du Seigneur, même si quelque auteur l’identifie avec le jeune homme, fils de la veuve Marie, qui, vêtu tout simplement d’un drap, suivit Jésus après son arrestation dans le jardin de Gethsémani. Marc collabora au contraire avec l’apôtre Paul, connu à Jérusalem. Il fut avec lui à Chypre et puis à Rome. En l’an 66 saint Paul depuis sa prison romaine écrit à Timothée : « Prends Marc et emmène-le avec toi, car il me sera utile pour le ministère » (2Tm4,11).

Saint Marc à Rome et les autres voyages

On ne sait pas si Marc réussit à gagner Rome à temps pour assister au martyre de Paul, mais, certainement dans la capitale de l’Empire il se mit au service de Pierre. La Basilique romaine de saint Marc, en plein centre historique, témoigne de sa présence, vu qu’on dit qu’elle a été érigée à l’endroit où se trouvait la maison où vécut l’évangéliste. Pierre cite souvent le nom de Marc. Dans sa Première lettre par exemple, nous lisons : « La communauté qui a été élue est avec moi et demeure en Babylone (Rome) ; et ainsi que Marc mon fils » (1¨Pt5, 13)

Ou encore, dans les Actes des Apôtres, après la « miraculeuse » libération de Pierre de la prison : « après avoir réfléchi, il se rendit dans la maison de Marie, mère de Jean dit aussi Marc, où se trouvait un bon nombre de personnes recueillies en prière » (Ac12, 12)

Après la mort du Prince des Apôtres, on perd les traces de Marc : une ancienne tradition veut qu’il soit évangélisateur en Égypte et fondateur de l’Église d’Alexandrie. Une autre tradition rapporte, qu’avant de rentrer en Égypte, il fut à Aquilée pour s’occuper de l’évangélisation de l’aire nord-est de l’Empire. Ici il convertit Ermagore devenu premier évêque de la ville. En quittant Aquilée, il semble qu’en raison d’une tempête il accosta aux îles Réaltines, noyau originaire de la future Venise. Dans le sommeil il vit un ange qui lui promit qu’en cette terre il aurait dormi dans l’attente du dernier jour. 

Le témoignage suprême de saint Marc

L’évangéliste Marc mourut probablement entre 68 et 72, peut-être martyre à Alexandrie d’Égypte. C’est ainsi que l’écrivent les Actes de Marc au IVème siècle : le 24 avril, la corde au cou, il fut trainé par les païens à travers les rues d’Alexandrie. Jeté en prison, il fut réconforté par un ange mais le lendemain il subit la même torture atroce et mourut. Son corps était destiné aux flammes, mais il en fut sauvé par des fidèles et il fut enterré dans une grotte. D’où, au Vème siècle il fut transféré dans une église. Selon une légende de 828, deux marchands vénitiens auraient emporté, sous la menace des Arabes, le corps dans la cité de Venise où il est conservé aujourd’hui dans la Basilique qui lui est dédiée. Certaines de ses reliques sont conservées aussi au Caire, en Égypte, dans la cathédrale de Saint Marc, siège du patriarche copte orthodoxe Twadros II.

L’Évangile  « concret » de Marc

Marc est considéré comme « le sténographe de Pierre ». Son Évangile fut écrit entre l’an 50 et 60. Selon la tradition, il transcrivit la prédication de Pierre et ses catéchèses, destinées spécialement aux premiers chrétiens de Rome, sans les élaborer ni les adapter à un autre schéma personnel, c’est pour cela que son Évangile renferme la vivacité et la sincérité d’un récit populaire. Sa langue est le grec, la langue la plus répandue de l’époque ; et l’objectif des récits est de démontrer la puissance de Jésus-Christ, Fils de Dieu, qui se manifeste dans les nombreux miracles qu’il fait. Les paroles de l’Évangile de Marc : « Allez dans le monde entier et proclamer l’Évangile à toute créature », a expliqué une fois le Pape François, indiquent clairement ce que Jésus attend de ses disciples. 

Marc, Patron de Venise

Déjà en 1071 saint Marc fut choisi comme titulaire de la Basilique et Patron principal de la Sérénissime. Venise resta indissolublement liée à sa personne, dont le symbole d’évangéliste, le lion ailé serrant un livre avec ce texte : « Pax tibi Marce Evangelista meus », devint l’emblème de la Cité reproduit en plusieurs endroits de la ville et dressé partout où la Sérénissime porta sa domination.

Saint Marc est le patron des notaires, des écrivains, des vitriers, des opticiens. Il est vénéré dans diverses églises chrétiennes, même en dehors de l’Église catholique, par l’Église orthodoxe et par l’Église copte qui le considère comme son propre patriarche.

https://www.vaticannews.va/fr/saint-du-jour/04/25/saint-marc--evangeliste.html

jeudi 18 avril 2024

La Fée des Fleurs et le Jardin Magique

 


Amélie, une femme aimable et gentille, voit sa vie transformée lorsqu'une fée lui offre des graines magiques qui font pousser des fleurs aux pouvoirs extraordinaires.

PARTIE 1 : LA FÉE DES FLEURS

Il était une fois, dans un magnifique royaume, une femme nommée Amélie. Amélie était une personne aimable et gentille, toujours prête à aider les autres. Elle vivait seule dans une petite maison située au milieu d'un vaste jardin.

Dans ce jardin, Amélie cultivait toutes sortes de fleurs colorées. Elle les arrosait tous les jours, prenait soin d'elles et les regardait grandir avec amour. Les fleurs étaient si belles que les gens venaient de loin pour les admirer.

Un jour, alors qu'Amélie prenait soin de ses fleurs, une petite fée apparut devant elle. La fée avait de longs cheveux dorés et portait une robe faite de pétales de roses. Elle avait des ailes transparentes qui scintillaient au soleil.

« Bonjour, Amélie, » dit la fée en souriant. « Je suis la Fée des Fleurs, et j'ai été témoin de tout l'amour que tu portes à tes fleurs. Je suis venue te remercier et te récompenser pour ta gentillesse. »

Amélie était émerveillée. Elle n'avait jamais vu une fée auparavant, mais elle savait qu'elles étaient des créatures magiques.

« Que puis-je faire pour toi, Fée des Fleurs ? » demanda Amélie, curieuse.

La fée lui tendit un petit sachet rempli de graines. « Ces sont des graines magiques, » expliqua-t-elle. « Plante-les dans ton jardin et attends ce qu'il va se passer. »

Amélie, excitée, remercia la fée et se mit immédiatement à planter les graines dans son jardin. Elle arrosa le sol avec soin et attendit avec impatience.

PARTIE 2 : LA MAGIE DES FLEURS

Quelques jours plus tard, les graines commencèrent à germer. Des fleurs de toutes les couleurs et de toutes les formes sortirent de terre. Le jardin d'Amélie s'était transformé en un endroit féerique.

Mais ce n'était pas tout. Chaque fleur avait une capacité magique spéciale. Il y avait des roses qui pouvaient guérir les blessures, des tulipes qui pouvaient rendre les gens heureux, des marguerites qui pouvaient prédire l'avenir, et bien d'autres merveilles encore.

Les nouvelles se répandirent rapidement dans le royaume et les gens accoururent pour voir les fleurs magiques d'Amélie. Ils venaient avec des problèmes et repartaient avec des sourires sur leurs visages grâce aux pouvoirs des fleurs.

Amélie était heureuse de pouvoir aider les autres grâce à ses fleurs magiques. Chaque jour, elle accueillait les visiteurs et leur offrait des fleurs pour les aider dans leurs soucis.

Mais un jour, une sorcière maléfique apprit l'existence des fleurs magiques d'Amélie. Elle voulait s'emparer de leur magie pour devenir plus puissante.

PARTIE 3 : LE TRIOMPHE DE L'AMOUR

La sorcière se rendit chez Amélie, déterminée à voler les fleurs magiques. Elle utilisa ses pouvoirs sombres pour créer un brouillard épais qui enveloppa le jardin.

Amélie était bouleversée. Elle ne savait pas comment protéger ses fleurs de la sorcière. Mais alors qu'elle allait abandonner tout espoir, les fleurs magiques se mirent à briller intensément.

La Fée des Fleurs apparut une fois de plus devant Amélie. « N'aie pas peur, Amélie, » dit-elle. « L'amour que tu portes à tes fleurs est si puissant qu'il peut vaincre la magie noire. Crois en toi et utilise ta gentillesse pour repousser la sorcière. »

Amélie sentit une force nouvelle en elle. Elle prit une poignée de fleurs magiques et les lança vers la sorcière. Les fleurs se transformèrent en un bouquet de lumière qui dissipa le brouillard et repoussa la sorcière loin du jardin.

La sorcière, vaincue, s'enfuit en jurant de se venger. Amélie et la Fée des Fleurs purent enfin célébrer leur victoire.

Désormais, Amélie continua à cultiver ses fleurs magiques et à aider les gens grâce à leurs pouvoirs. Son jardin devint un lieu de joie et d'espoir pour tous ceux qui le visitaient.

Et Amélie comprit que parfois, la plus grande magie se trouve dans les actes de gentillesse et l'amour que l'on partage avec les autres.

Télécharger cette histoire en PDF

samedi 6 avril 2024

7 avril 2024, Dimanche de la Divine Miséricorde

 


La fête de la Miséricorde est célébrée le premier dimanche après Pâques, appelé Dimanche de la Divine Miséricorde, ou encore deuxième dimanche de Pâques.

La fête a été instituée en 1985, tout d’abord pour le diocèse de Cracovie par son évêque, le cardinal Franciszek Macharski, puis pour quelques autres diocèses de Pologne. Dix ans plus tard, en 1995, le pape Jean-Paul II l’a étendue à toute la Pologne, à la demande expresse de l’épiscopat polonais. Le 30 avril 2000, deuxième dimanche de Pâques de cette année-là et jour de la canonisation de sainte Faustine à Rome, il l’a élargie à toute l’Église.

Ô JESUS ! J’AI CONFIANCE EN TOI