dimanche 28 juillet 2013

Les 7 "Je suis" de Jésus

A sept reprises Jésus s'est décrit par des images très simples de compréhension pourtant lourdes de sens. Ces 7 " Je suis " de Jésus veulent nous montrer qu'il n'est pas un simple prédicateur, ni même un prophète parmi d'autres mais bien qu'il est beaucoup plus : Dieu lui-même venu à la rencontre des hommes.

C'est 7 "Je suis" se trouvent tous dans l'évangile de Jean. Je vous encourage à lire reste du passage pour répondre de manière plus précise et profonde aux questions de réflexion. Au delà de la réponse simple se cache un message extraordinaire sur la personne de Christ et c'est à vous de le trouver !

1. "Je suis le Pain"

Jésus leur dit: "C'est moi qui suis le pain de la vie. Celui qui vient à moi n'aura jamais faim et celui qui croit en moi n'aura jamais soif." (Jean 6:35)

Questions :

Que représente le pain dans l'alimentation des juifs de l'époque ?
Décrivez le sentiment de faim, de soif, que veut dire Jésus ?

2. "Je suis la lumière"

 Jésus leur parla de nouveau. Il dit: "Je suis la lumière du monde. Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura au contraire la lumière de la vie." (Jean 8:12)

Questions:

Que veut dire Jésus par l'expression: "les ténèbres" ?
Comment suivre Jésus?

3. " Je suis la porte":

"C'est moi qui suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé; il entrera et sortira, et il trouvera de quoi se nourrir." (Jean 10:9)

Questions :

Que représente la notion de porte, hier comme aujourd'hui?
Que veut dire Jésus par entrer par lui ?

4. "Je suis le bon berger" :

" Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis." (Jean 10:11)

Questions :

Quel est le rôle du berger ?
Que signifie pour Jésus "donner sa vie", n'est-il pas immortel puisque Dieu ?

5. "Je suis la résurrection et la vie ":

Jésus lui dit: "C'est moi qui suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, même s'il meurt." (Jean 11:25 )

Questions :

Quel pourvoir a le fait de croire en Jésus ?
Qu'est-ce que croire en Jésus ?

6. "Le chemin, la vérité, la vie" :

Jésus lui dit: "C'est moi qui suis le chemin, la vérité et la vie. On ne vient au Père qu'en passant par moi." (Jean 14:6)

Questions :

De quelle vérité parle Jésus ?
Comment se situe-t-il par rapport au Père ?

7. " Je suis le vrai cep" :

"C'est moi qui suis le vrai cep, et mon Père est le vigneron." (Jean 15:1 )

Questions:

Que veut dire Jésus en s'identifiant au  cep ?
Quel est le rôle du vigneron ?

 Source: WEB

samedi 27 juillet 2013

Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc 11,1-13.

Seigneur apprends-nous à prier

Un jour, quelque part, Jésus était en prière. Quand il eut terminé, un de ses disciples lui demanda : `` Seigneur, apprends-nous à prier, comme Jean Baptiste l'a appris à ses disciples. `` Il leur répondit : `` Quand vous priez, dites : 'Père, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne. Donne-nous le pain dont nous avons besoin pour chaque jour.
Pardonne-nous nos péchés, car nous-mêmes nous pardonnons à tous ceux qui ont des torts envers nous. Et ne nous soumets pas à la tentation. ' ``  Jésus leur dit encore : `` Supposons que l'un de vous ait un ami et aille le trouver en pleine nuit pour lui demander : 'Mon ami, prête-moi trois pains : un de mes amis arrive de voyage, et je n'ai rien à lui offrir. ' Et si, de l'intérieur, l'autre lui répond : 'Ne viens pas me tourmenter ! Maintenant, la porte est fermée ; mes enfants et moi, nous sommes couchés. Je ne puis pas me lever pour te donner du pain',  moi, je vous l'affirme : même s'il ne se lève pas pour les donner par amitié, il se lèvera à cause du sans-gêne de cet ami, et il lui donnera tout ce qu'il lui faut.  Eh bien, moi, je vous dis : Demandez, vous obtiendrez ; cherchez, vous trouverez ; frappez, la porte vous sera ouverte.  Celui qui demande reçoit ; celui qui cherche trouve ; et pour celui qui frappe, la porte s'ouvre.  Quel père parmi vous donnerait un serpent à son fils qui lui demande un poisson ?  Ou un scorpion, quand il demande un œuf ?  Si donc vous, qui êtes mauvais, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, combien plus le Père céleste donnera-t-il l'Esprit Saint à ceux qui le lui demandent ? ``



Savoir prier n’est pas inné; cela s’apprend, auprès de quelqu’un qui en a l’expérience. Jésus est bien placé pour l’enseigner à ses disciples. Qu’est-ce qui est à apprendre ? Des connaissances ? Des attitudes ? Des savoir-faire pour l'action ? L’enseignement de Jésus ne porte pas tellement sur des méthodes de prière, même si cela peut être utile car prier est un acte bien concret. Il est plutôt centré sur le savoir-être plus profond, à l'intérieur d'une perspective d’ensemble.

Cette prière, comme les autres prières chrétiennes, ne commence pas par une demande. Elle n’est pas d’abord centrée sur soi, mais tourne d'abord celui qui la prononce vers le Dieu vivant, qui est Père, source de vie, vers son Nom, sa personne même, vers son règne, vers sa volonté. Cela donne à la vie un horizon de sens plus vaste, celui du règne de Dieu, dans lequel inscrire sa quête et son attente, ses tâtonnements et ses difficultés, ses travaux et ses services, pour que ce règne vienne.

Ensuite, viennent les demandes en nous : pour recevoir, il fallait d’abord faire de la place pour accueillir. Ce qui est demandé, c’est l’essentiel pour vivre : le pain, le pardon, le courage. Le pain dont on a besoin chaque jour, celui de la nourriture et de l’affection, de la dignité et du travail, du sens de la vie et de la beauté, ce pain qui soutient une existence.

Mais nos vies aussi sont compliquées, fragiles, avec leur poids de tensions, de rancoeurs, de blessures. " Pardonne-nous comme nous pardonnons ". Libère nos coeurs de tous ces fardeaux, ces duretés, ces fermetures, dans nos rapports à toi et les uns aux autres, pour que nous puissions recommencer chaque jour, avec plus de confiance, tenir debout et marcher d’un pas plus léger. Pour une famille, une communauté, un couple, un groupe, un peuple, la vie ensemble n’est pas possible sans réconciliation, sans dépassement des malveillances et ressentiments, sans pardons. Cela suppose un regard vrai sur soi, devant Dieu, sans fausse honte ou humilité. Nous sommes capables du pire comme du meilleur. Mais nous sommes aussi capables de nous relever, quand la grâce de Dieu nous soulève.

Nos vies sont difficiles. Nous sommes assaillis par tant de possibles et d’images, par les tentations de céder et de nous résigner, de laisser tomber la grandeur de notre vocation humaine. Choix à faire dans la vie familiale, le travail, les engagements avec d’autres et dans notre propre fidélité à nous-mêmes. Entre exaltation et détresse, des enjeux éthiques et spirituels se profilent et nous sommes parfois démunis ou surexcités. C’est alors le temps de supplier le Père : donne-nous le courage de nous tenir debout, ou de ne pas trop plier, et de garder les yeux, l’esprit et le cœur ouverts.

Dans son enseignement sur la prière, Jésus aborde aussi une question cruciale, celle de notre image de Dieu. La prière commence par nommer Dieu comme Père. Pour lui, le Père céleste donne ce qui est bon. Si nous-mêmes, souvent impatients et faibles, savons donner de bonnes choses aux nôtres, encore plus notre Dieu, qui justement est Dieu, le Tout-Autre et Tout-Proche, mystère de bonté dans son être même, saura-t-il nous donner la vie en abondance. Notre image de Dieu ne peut être inférieure à ce qu’il y a de meilleur en l’être humain. Sinon, ce n'est pas le visage du Dieu vivant vers lequel nous sommes tournés mais une idole, qui n’écoute pas et ne parle pas, comme disent les psaumes. (...)

Long apprentissage, jamais terminé, que celui de la prière. Car c’est en même temps apprendre à reconnaître, au plus profond de nous et dans ses traces en l’univers, une présence mystérieuse. À travers et au-delà de tous les mots et gestes de nos prières, nous cherchons un visage, celui de Dieu et le nôtre.

(Daniel Cadrin, Biblia no 4, août-septembre 2010, p.30-32)

Questions pour la réflexion :

Dans cette prière de Jésus, quel élément m'interpelle davantage, à ce moment de ma vie ?
Quelle question, quel appel, quelle orientation de vie montent en moi ?
En quoi cela touche-t-il mon image de Dieu ?

(IMAGE 2)Oeuvre de James Tissot, c.1886-1994, Brooklyn Museum.

vendredi 26 juillet 2013

Il est grand le mystère de la foi

Ce mystère éclaire ma vie!
Jésus m’aime et me sauve!

Sainte Anne, merci, d’être près de moi,
Avec Marie, ma Mère, et Jésus, mon Seigneur!

Mon passage sur terre est bref.
Je m’ennuie de ceux qui ont ensoleillé ma vie.
Ils m’ont fait goûter l’amour de Dieu!
Ils m’attendent en paradis!

Sainte Anne, que l’amour divin nous rassemble
Dans le ciel, là où il n’y a plus de tristesse,
Où il n’y a plus que l’amour!

Merci, Dieu, de m’aimer!
Merci, Marie, de m’aimer!
Merci, Anne, de m’aimer!

Moi, je vous ai aimés, mais  si peu, si peu!

Il est grand le mystère de la foi,
Le mystère de l’amour infini de mon Dieu!

Sainte Anne, bénis-moi! Bénis ma famille!
Bénis l’Église et le monde! Amen! Alléluia!

Avec permission

Neuvaine à Sainte Anne

Gérard Desrochers rédemptoriste






mardi 23 juillet 2013

Vieillir en beauté













Vieillir en beauté, c’est vieillir avec son cœur,
Sans remords, sans regrets, sans regarder l’heure.
Aller de l’avant arrêter d’avoir peur,
Car à chaque âge se rattache un bonheur.

Vieillir en beauté, c’est vieillir avec son corps,
Le garder sain en dedans, beau en dehors.
Ne jamais abdiquer devant un effort,
L’âge n’a rien avoir avec la mort.

Vieillir en beauté, c’est donner un coupe de pouce
À ceux qui se sentent perdus dans la brousse
Qui ne croient plus que la vie peut être douce
Et qu’il y a toujours quelqu’un à la rescousse.

Vieillir en beauté, c’est vieillir positivement,
Ne pas pleurer sur ses souvenirs d’antan,
Être fier d’avoir des cheveux blancs,
Car pour être heureux, on a encore le temps.

Vieillir en beauté, c’est vieillir avec amour,
Savoir donner sans rien attendre en retour.
Car où que l’on soit, à l’aube du jour,
Il y a quelqu’un à qui dire bonjour.

Vieillir en beauté, c’est vieillir avec  espoir,
Être content de soi en se couchant le soir.
Et lorsque viendra le point non-recevoir,
Se dire qu’au fond, ce n’est qu’un au revoir!

 Ghyslaine Delisle

Source : Virage été 2013


samedi 20 juillet 2013

Évangile selon saint Luc 10, 38-42

Jésus rencontre Marthe et Marie

Alors qu’il était en route avec ses disciples, Jésus entra dans un village. Une femme appelée Marthe le reçut dans sa maison. Elle avait une sœur, nommée Marie, qui, se tenant assise aux pieds du Seigneur, écoutait sa parole.  Marthe était accaparée par les multiples occupations du service. Elle intervint et dit : ‘’ Seigneur, cela ne te fait rien ? Ma sœur me laisse seule à faire le service. Dis-lui donc de m’aider. ‘’
Le Seigneur lui répondit :’’ Marthe, Marthe, tu t’inquiètes et tu t’agites pour bien des choses. Une seule est nécessaire. Marie a choisi la meilleure part : elle ne lui sera pas enlevée. ‘’ 

Pour aller plus loin

La meilleur part nous est offerte gratuitement. Par amour. Comme Marie, je peux d’une rencontre intime, donner toute la place au Christ, laisser de côté les obligations courantes pour me mettre à son écoute, boire ses paroles, accueillir sa vie.

Voici quelques questions pour l’Évangile de ce dimanche :

-Pourquoi Marthe s’énerve-t-elle contre sa sœur ?
- Que signifie la réponse de Jésus ? Qu’est ce que c’est que cette « bonne  part » ?
- Qu’est ce que cela signifie dans nos vies « choisir la bonne part » ? Trouver  des actualisations :
¤……………………………………………………………
¤……………………………………………………………
¤……………………………………………………………
¤……………………………………………………………
¤……………………………………………………………
- De quoi est-ce que j’aime m’occuper lors de la visite d’une personne que je connais ?
- Dans quelle position physique m’est-il le plus facile d’écouter et méditer la Parole de Dieu ?
- Qu’est-ce qui m’accapare le plus dans ma journée ?
- Dans quel domaine est-ce que je ne m’inquiète plus ?
- Qu’est-ce que j’aime faire avec plaisir ?

Source: WEB

mardi 16 juillet 2013

PRIÈRE D'ALLIANCE

Chaque soir prendre "10 minutes" avec Dieu...
-Pour retrouver la paix du cœur-

1-Le pouce dit merci
``Pouce, j'arrête ``dit l’enfant pour interrompre son jeu.
La prière est un temps d'arrêt dans le jeu de ma vie, un arrêt nécessaire. C’est aussi le pouce que je lève pour dire `` c’est super ! ``
Alors je lève le pouce et me rappelle tous les bons moments que j’ai vécus et qui m’ont fait grandir, tout ce que j’ai appris et reçu aujourd’hui.
Avec un petit clin d’oeil au Dieu Créateur, je dis : `` C’était super, merci mon Dieu ! ``

2-L'index demande pardon
L’index est le doigt qui indique et qui montre… Je demande à Dieu de me montrer mes erreurs, mes défauts, mon péché, ce que je dois corriger dans ma vie.
Les yeux fermés, je demande pardon au Père de toute miséricorde.

3-Le majeur vise plus haut et dit "s'il te plaît"
Le majeur est le plus grand des doigts.``Va plus loin `` me dit-il. Après avoir regardé mes qualités et mes défauts, je me dis que je peux progresser. Les autres ont besoin de moi. Où Dieu m’appelle-t-il ? Où serai-je utile ? Qui puis-je servir ? Comment aimer davantage ?
Je demande une grâce, un `` s’il te plaît `` au Christ, pour mieux le suivre, et le servir demain.

4-L'annulaire fait alliance et dit "avec toi"
L’annulaire est le doigt qui porte alliance.
Je sais que je ne peux pas agir seul. Je pense à tous ceux à qui je suis relié, ma famille, mes amis, quelqu’un qui m’a marqué.
En faisant alliance avec eux, j’irai plus loin, vers de nouveaux horizons, vers demain. J’intercède pour tous mes compagnons de route.
Le Christ veut faire alliance avec moi : je peux le choisir comme mon 1er compagnon de route.

5-L'auriculaire tient parole et dit "ok"
L’auriculaire est le doigt qui parle. `` C’est mon petit doigt qui me l’a dit ! ``J’écoute ce que me dit le petit doigt de mon cœur à cœur avec Dieu. Je Lui confie ma vie pour Lui être fidèle.
Je le remercie de la confiance qu’il met en moi.


http://www.chemin-neuf.fr/jeunes-fr/14-18-ans/prieres/priere-dalliance

lundi 15 juillet 2013

Trésor de la prière

Bravo, Seigneur, pour ce monde si beau
Bravo pour ce ciel en déclin qui figure l’éternité
Bravo pour le big-bang qui fait émerger l’espace-temps
Bravo pour l’état d’avant, dont nous ne savons rien,
Ni le temps, ni le lieu
Ni rien de ce qui ressemble à nos hiers de maintenant.
Il était une fois Dieu
Il était une fois ailleurs
Il était autrefois une présence
Et nous voilà ici, lancés dans l’aventure.

André Beauchamps, hymnes à la beauté du monde, Montréal.
Novalis.coll.``Paroles pour prier,`` 2012, P.13

Prions En Église Juillet 2013

samedi 13 juillet 2013

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 10, 25- 37

La générosité du Bon Samaritain


Pour mettre Jésus à l'épreuve, un docteur de la Loi lui posa cette question : "Maître, que dois-je faire pour avoir part à la vie éternelle ? " Jésus lui demanda : " Dans la Loi, qu'y a-t-il d'écrit ? Que lis-tu ? " L'autre répondit : " Tu aimeras le Seigneur de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de tout ton esprit, et ton prochain comme toi-même. Jésus lui dit : " Tu as bien répondu. Fais ainsi et tu auras la vie. " Mais lui, voulant montrer qu'il était un homme juste, dit à Jésus : " Et qui donc est mon prochain ? " Jésus reprit : " Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho, et il tomba sur des bandits ; ceux-ci, après l'avoir dépouillé, roué de coups, s'en allèrent en le laissant à moitié mort. Par hasard, un prêtre descendait par ce chemin ; il le vit et passa de l'autre côté. De même un lévite arriva à cet endroit ; il le vit et passa de l'autre côté.  Mais un Samaritain, qui était en voyage, arriva près de lui ; il le vit et fut saisi de pitié. Il s'approcha, pansa ses plaies en y versant de l'huile et du vin ; puis il le chargea sur sa propre monture, le conduisit dans une auberge et prit soin de lui. Le lendemain, il sortit deux pièces d'argent et les donna à l'aubergiste, en lui disant : " Prends soin de lui ; tout ce que tu auras dépensé en plus, je te le rendrai quand je repasserai. " Lequel des trois, à ton avis, a été le prochain de l'homme qui était tombé entre les mains des bandits ? " Le docteur de la Loi répond : " Celui qui a fait preuve de bonté envers lui. " Jésus lui dit : "Va, et toi aussi, fais de même."

1 – Pour goûter la Parole

La parabole du bon Samaritain se situe après la prière d’exultation de  joie de Jésus et précède le Notre Père, prière que Jésus nous enseigne. Ces  louanges vers Dieu disent le lien particulier du Père et du Fils, et cette  parabole, l’attention de Dieu pour les petits de ce monde. Luc situe son histoire au début du long voyage de Jésus entre la Galilée et
Jérusalem, en Samarie, sa terre de mission.

Ce récit se déploie en trois temps : l’interrogation du légiste, le récit  exemplaire et l’exhortation de Jésus.

2 – Pour aller plus loin

1 - Qui est mon prochain ?

Le prochain, c’est l’autre, celui que je croise, l’être à aider. C’est le  sens fréquemment donné à ce terme encore aujourd’hui. Or, Jésus en posant  la question : ``Lequel des trois, à ton avis, s’est montré le prochain de  l’homme tombé entre les mains des bandits ? `` intervertit les rôles. Le prochain n’est plus du côté de celui qu’on doit aimer, il est celui qui doit aimer. Le prochain, chacun le devient dès qu’il se fait proche d’autrui. Ainsi tout le monde peut être le prochain de quelqu’un, de `` celui qui a le plus  besoin de toi ``. C’est dans la vie simple de tous les jours que le Christ nous  apprend l’amour du prochain. Jésus fait de l’exclu, le Samaritain, le modèle de l’amour du prochain. Il veut faire admettre cette nouvelle relation entre les hommes. Le prêtre et le lévite représentent une image négative du Temple, alors que le Samaritain va faire un acte liturgique, un acte de piété envers le blessé, en versant de l’huile et du vin sur ses plaies. Jésus montre que l’amour est premier et nous donne la véritable interprétation de la Loi en réponse à la question du légiste.

2 - Jésus, le bon Samaritain par excellence

 Dans cette parabole Luc, le peintre de la douceur et de l’amour du  Christ, nous montre que le Seigneur est d’abord venu pour les pécheurs et pour les plus pauvres. Il annonce la proximité de Dieu, le temps de la conversion, l’appel au changement. Son but est la conversion et le salut des hommes.

 Les Pères de l’Église ont vu en ce Samaritain l’image même du Christ.
C’est lui qui va vers l’homme blessé, qui se fait proche de lui, qui lui redonne
vie. Le Samaritain confie l’exercice de la miséricorde à l’aubergiste, figure de l’Église. L’huile et le vin représentent les sacrements. Les deux pièces d’argent symbolisent la Parole de Dieu dans les deux Testaments. Jésus se retire mais reste pour nous, présent dans son Eucharistie. Il annonce son retour.
Le Christ qui se dit lui-même dans cette parabole, rappelle qu’il n’est pas venu abolir la Loi, il est venu l’accomplir pour montrer le plus grand des commandements.

 Voici quelques questions pour vous aider à partager :

 Dans ce texte d’évangile, quels sont les différents personnages ? Quelles sont leurs attitudes, leurs paroles, leurs réactions ?
 Qu’est-ce qui m’interroge, me touche particulièrement ?
 Qu’est-ce que cet évangile me révèle du visage de Dieu ?
 Dans mes propres lieux de vie et d’engagement, comment je vis la rencontre avec les plus pauvres ? Quelles sont mes attitudes, mes réactions ?
 Quelles sont mes peurs, mes blocages, mes incompréhensions ?
 Quelles sont les rencontres qui m’ont le plus marqué ?
 Qu’ont-elles changé concrètement dans ma vie personnelle et communautaire, dans ma façon de penser ou d’agir, dans ma relation aux autres ?

Jeu Biblique

Matériel: Mouchoir d’homme, bande blanche avec une croix rouge

Préparation: aucune

Choisissez quelqu’un pour être un bandit. Attachez le mouchoir autour de son cou et choisissez quelqu’un d’autre pour jouer le Bon Samaritain et attachez la bande avec la croix rouge à son bras.

Expliquez que le jeu est que le bandit ne parvienne pas à vous toucher. Le bandit peut s’en prendre à tous sauf le Bon Samaritain. Si le bandit te touche tu dois t’asseoir par terre. La seule personne qui peut te sauver c’est le Bon Samaritain en te touchant sur la tête. Après un temps choisissez un nouveau bandit et un nouveau Samaritain.

Points de discussion:

 Comment t’es-tu senti quand le bandit était près de toi?
 Comment t’es-tu senti quand le Bon Samaritain s’approchait de toi?
 Comment aimerais-tu que les gens se sentent quand tu t’approches d’eux?

Pour prier avec le Bon Samaritain…

Jésus, tu nous demandes de faire comme le Bon Samaritain, d’avoir un cœur plein d'amour pour ceux qui ont mal au fond de leur cœur.
Tu nous appelles à leur venir en aide et à soigner leurs blessures.

Nous aussi, nous avons parfois peur de nous approcher de celui qui souffre.
Nous ne le regardons pas, nous passons loin de lui.

Nous oublions ceux qui ont faim, froid, ceux qui se sentent abandonnés…
Nous fermons nos portes à ceux qui sont différents de nous.

Toi Jésus, tu nous invites à nous approcher d'eux, à les aimer comme tu les aimes, à les accueillir, à jouer avec eux…

Donne-nous ton Esprit pour être des petits Samaritains chaque jour autour de nous !

Source:WEB

mercredi 10 juillet 2013

Prier en famille

Marcher, c’est prier

Combien de kilomètres le Christ a-t-il marché? Impossible à dire. Mais une chose est sûre; ses allées et venues en Palestine ont entraîné dans leurs sillages des générations de croyants et de croyantes sur le chemin de la foi.

L’été est un temps propice pour expérimenter en famille le sens du pèlerinage. Pas nécessaire de faire celui de Compostelle : quelques kilomètres près de chez soi, vers une abbaye ou une chapelle en haut d’une colline, sont déjà l’occasion de découvrir comment Dieu nous rejoint sur la route. À condition de convenir qu’on part en pèlerinage, pas simplement en promenade…

Marcher, c’est renoncer aux facilités, à commencer par la voiture- et Dieu sait si elle est utile aux familles! À pied, tout le corps travaille, s’expose au soleil, à la pluie, au vent… dame Nature nous décape : louée soit-elle!

En cours de route, le plus fort aura souci du plus faible. Mais ce dernier apprendra aussi à contribuer à l’effort, par exemple en portant son sac : prendre soin les uns des autres, c’est déjà l’Évangile. Les plus petits, dans leur art de s’intéresser au moindre insecte, nous rappellent que l’essentiel du pèlerinage n’est pas la destination mais la route elle-même. Le royaume de Dieu est parmi nous. Les pas s’harmonisent, on oublie les horaires. En nous s’ouvre un espace intérieur : chemin faisant, voici que le Christ fait route avec nous. Notre cœur n’est-il pas brûlant?

Seigneur, viens bénir notre marche. Donne-nous d’accueillir en famille ce que notre chemin nous réserve, et par-dessus tout, de nous accueillir les uns les autres comme toi-même. Que tout, sur la route, devienne action de grâce, car tout mène à toi.

Laurent fontaine et Louise poirier Prions En Église Juillet 2013


mardi 9 juillet 2013

Le Pape François

Dieu notre Père,
Nous te disons merci
D’avoir donné à ton Église et au monde
Le pape François.

Avec lui,
Guide-nous sur le chemin
De la fraternité, de l’amour
Et de la confiance.
 Que son ministère
Nous inspire la simplicité et l’humilité
Pour l’annonce de l’Évangile.
 Que ta bénédiction nous accompagne
Dans le service des pauvres
Et de toutes les personnes
De bonne volonté.

Exauce-notre prière,
Dieu Père, Fils et Esprit saint,
Amen.
2013 Les Éditions Novalis inc.

 novalis.ca

samedi 6 juillet 2013

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 10,1-9, 17-20

Jésus a besoin de nous… !

Parmi ses disciples, le Seigneur en désigna encore soixante-douze, et il les envoya deux par deux devant lui dans toutes les villes et localités où lui-même devait aller. Il leur dit : `` La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson. Allez ! Je vous envoie comme des agneaux au milieu des loups. N’emportez ni argent, ni sac, ni sandales, et ne vous attardez pas en salutations sur la route. Dans toute maison où vous entrerez, dites d’abord : ’Paix à cette maison.’ S’il y a là un ami de la paix, votre paix ira reposer sur lui ; sinon, elle reviendra sur vous. Restez dans cette maison, mangeant et buvant ce que l’on vous servira ; car le travailleur mérite son salaire. Ne passez pas de maison en maison. Dans toute ville où vous entrerez et où vous serez accueillis, mangez ce qu’on vous offrira. Là, guérissez les malades, et dites aux habitants : ’Le règne de Dieu est tout proche de vous.’ ‘’

Mais dans toute ville où vous serez entrés et où l'on ne vous accueillera pas, sortez sur les places publiques et dites : même la poussière de votre ville, collée à nos pieds, nous la secouons pour vous la laisser. Pourtant, sachez-le bien, le Royaume de Dieu est tout proche. Je vous le déclare : au jour du jugement, Sodome sera traitée moins sévèrement que cette ville.

Les soixante-douze revinrent tout joyeux, disant : «Seigneur, même les démons nous étaient soumis en ton Nom ! » Il leur dit : « Je voyais Satan tomber du ciel comme l'éclair. Aussi bien vous ai-je donné le pouvoir de fouler aux pieds serpents, scorpions et toute puissance de l'Ennemi, et rien ne pourra vous nuire. Cependant ne vous réjouissez pas de ce que les esprits vous sont soumis ; réjouissez-vous de ce que vos noms se trouvent inscrits dans les cieux.

 Jésus a besoin de nous… !

Jésus vient d'envoyer ses 12 apôtres (Luc, 9, 1-9), qui ont "annoncé la Bonne Nouvelle et fait partout des guérisons". Cependant, "la moisson est abondante, mais les ouvriers peu nombreux". Il reste tant de personnes à rejoindre, encore et encore ! Alors Jésus en choisit 72 et les envoie "en avant de lui", pour que personne ne soit oublié dans les villes et villages qu'il va parcourir…
Curieusement, la première chose qu'il demande à ces "nouveaux ouvriers" est de prier le Maître de la moisson d'envoyer… des ouvriers. Seule la prière nous donne d'entendre l'appel de Dieu, d'être pleinement engagés à son service, tout en sachant que nous ne pourrons totalement répondre à cette mission.
Jésus nous envoie comme des agneaux au milieu des loups. Certes, annoncer la
Bonne Nouvelle peut provoquer des hostilités ; elle a même conduit certains au martyre.
Mais à notre époque reconnaissons que, parfois, le bon accueil reçu montre que les difficultés ne sont pas insurmontables, et que nos appréhensions ne font que les accroître. Le Seigneur travaille les cours, suscite questionnement et recherche de sens chez certains que nous sommes appelés à "visiter", en réponse à la prière de l'Église.
Jésus dresse ici la panoplie de l'évangélisateur… à adapter à notre époque, bien sûr !
Partir dans un esprit de communion, d'unité et sans s'encombrer de tas de sécurités…
Partir avec humilité, sans chercher à forcer l'adhésion ou à séduire mais en respectant la liberté de chacun. Proposer la bénédiction que Dieu a pour chacun… Rester disponible et ne pas chercher à être efficace, à "faire du rendement" ! Accueillir avec joie ce que l'autre nous propose, nous partage : ses joies, ses souffrances, ses questions, ses révoltes peut- être aussi. Et, surtout, annoncer par notre visage, par nos paroles, par notre vie que "Le
Royaume de Dieu est tout proche"…

Questions pour la réflexion personnelle et en groupe

•          Avec lequel de ces deux adjectifs puis-je m’identifier davantage dans la vie pratique : disciple ou apôtre ? Comment est-ce que j’agis en général: comme apôtre ou comme disciple ?
•          Que puis-je ou que pouvons-nous faire pour être de meilleurs disciples de Jésus-Christ ?
•          Que puis-je ou que pouvons-nous faire de façon concrète pour vivre davantage notre identité d’apôtre de Jésus-Christ et de son évangile ?

À toi de jouer

Tu connais un ouvrier comme ça ?

`` La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux ``, dit Jésus.

Les ouvriers, ce sont tous ceux qui se mettent au service de la Parole de Dieu et qui font connaître et rayonner autour d’eux. Connais-tu, autour de toi, quelqu’un qui est un peu une lumière pour les autres?

Source:WEB +Prions En Église Junior



vendredi 5 juillet 2013

POÉSIE

Les femmes de la Bible rayonnent de vie ;
Elles luttent et enfantent entonnant des psalmodies ;
En toutes circonstances, dans les bons et les mauvais jours,
Elles répondent `` présentes``, sincères et sans détours.

Les femmes de la Bible sont bien courageuses,
Quelquefois même un peu aventureuses.
Jokebed cacha son fils pendant trois longs mois,
Sans craindre le décret de mort du méchant roi.

Les femmes de la Bible aiment danser et chanter,
Au son du tambourin, des chants antiphonés.
Myriam, sœur de Moïse, entonna un beau cantique,
Suivie de ses compagnes battant la rythmique.

Les femmes de la Bible, habiles et travailleuses,
Filent de leurs mains des étoffes soyeuses ;
Des tentures aux couleurs vives et variées,
Pour orner la Tente, le tabernacle sacré.

Les femmes de la Bible, pionnières de la vraie foi ;
Telle Rahab de Jéricho cachant les espions sur son toit.
Elle demanda aux Israélites un geste de loyauté ;
Ils lui donnèrent un gage en signe de fidélité.

Les femmes de la Bible sont de vraies guerrières ;
Débora, la prophétesse, exerça son ministère,
Yaël, femme d’Heber le Qénien, se distingua
En tuant elle-même le chef vaincu, Sisera.

Les femmes de la Bible sont exemplaires :
Ruth, la Moabite, s’attacha à sa belle-mère :
`` Où tu iras j’irai ; où tu demeureras je demeurerai ;
Ton Dieu sera mon Dieu ; où tu mourras je mourrai ``.

Les femmes de la Bible sont des femmes de prière.
Anne, stérile, fit un vœu extraordinaire :
`` Si tu me donnes un garçon, il te sera consacré ``.
Dieu lui donna Samuel, le prophète bien-aimé.
 Les femmes de la Bible sont aussi des curieuses ;
Avides de connaître les choses mystérieuses.
La reine de Saba entendit parler du roi Salomon,
Elle l’éprouva par des énigmes et confirma sa réputation.

Les femmes de la Bible sont bien souvent distinguées,
Pas étonnant si certaines même ont été couronnées.
Esther monta sur le trône en gagnant la faveur du roi.
C’était prédestiné pour sauver son peuple aux abois.
 Les femmes de la Bible font beaucoup parler d’elles
Pour l’action, la prière, elles sont exceptionnelles.
Une veuve, nommée Anne, d’un âge fort avancé
Prophétisa sur Jésus devant tous ceux qui l’entouraient.
 Les femmes de la Bible sont persévérantes.
Elles reviennent à la charge, incommodantes.
La Syro-Phénicienne implora Jésus sans se gêner ;
Elle s’en retourna rejoindre sa fille, enfin délivrée.
 Les femmes de la Bible sont souvent reconnaissantes ;
Elles n’ont pas peur de se montrer parfois exubérantes.
La pécheresse pardonnée lava les pieds de Jésus
En les mouillant de ses larmes elle témoigna de son salut.
 Les femmes de la Bible sont spirituelles.
Elles prient et jeûnent avec ardeur et zèle.
Marie, sœur de Lazare, choisit la bonne part
Assise aux pieds du Maître, avide de savoir.
 Les femmes de la Bible sont généreuses ;
Pour elles, l’œuvre de Dieu n’est jamais ruineuse.
La veuve de l’Évangile offrit ses derniers sous,
Jésus le remarqua et loua son geste fou.
 Les femmes de la Bible sont des servantes fidèles ;
Elles suivaient leur Maître sur les routes d’Israël.
Marie-Madeleine, la dernière à Golgotha,
Et la première à revoir Jésus vivant après la croix.
 Les femmes de la Bible sont tout aussi pratiques.
Elles aiment leur prochain d’un amour authentique.
Dorcas cousait tuniques et manteaux,
Et distribuait aux pauvres l’objet de ses travaux.
 Les femmes de la Bible sont ouvertes à l’Évangile ;
Elles écoutent volontiers le message subtil.
Lydie, marchande de pourpre, de la ville de Thyatire
L’accepta avec foi et sans le contredire.
 Les femmes de la Bible ne sont pas ignorantes ;
Elles sont douées et parfois même savantes.
Priscille, de jour, fabriquait des tentes
Le soir, à la veillée, elle était bien convaincante.
 Les femmes de la Bible aident les apôtres
Romains 16 les nomme les unes après les autres :
Olympas, Junias, Prisca, Perside et Nérée,
Thyphène, Tryphose, Marie, Julie et Phoebé.
 Le rédacteur biblique a écrit en leur faveur ;
Proverbes 31 décrit la femme de valeur.
Elle fait du bien tous les jours de sa vie,
Et aux portes de la ville elle est louée par son mari !
P. H. Emirian (Octobre 2001)
http://www.selfrance.org/fileadmin/user_upload/images_campagne/dossiers/Femmes.pdf

mercredi 3 juillet 2013

Quiz Biblique



Réal Gingras C. Ss. R.

1- À la pêche miraculeuse, s. Jean reconnut le Seigneur et dit à s.Pierre :``C’est le Seigneur`` aussitôt S. Pierre se jeta à l’eau :
A) Il s’est déshabillé avant de sauter à l’eau
B) Il s’est habillé avant de sauter à l’eau
C) Il s’est mis un pagne parce qu’il était nu

2- Yavhé (Dieu) apparut à Abraham, qui avait 99 ans, pour lui dire``Je bénirai ta femme Sara, âgée de 90 ans, et d’elle je te donnerai un fils.``En attendant cela Abraham :
A) Se prit la tête à deux mains et paniqua!
B) Tomba la face contre terre, et il se mit à rire.
C) Courut vers Sara pour lui annoncer la nouvelle.

3- Au matin de la résurrection, les premiers à voir ressuscité près du tombeau vide furent :
A) s. Jean parce qu’il courait plus vite que s. Pierre
B) s. Pierre parce que s. Jean le laissa passer
C) Marie de Magdala parce qu’elle était restée près du tombeau.

4- Pilate rédigea un écriteau en hébreu, en latin et en grec, et le fit placer sur la croix, il était écrit :
A) ``Jésus, le Nazôréen, le roi des Juifs``
B) ``Cet homme a dit : Je suis le roi des Juifs.``
C) ``Il est le Messie, le Fils de Dieu.``

5- Pour remplacer Judas, on procéda ainsi :
A) Pierre fit un long discours devant 120 personnes et nomma Matthias
B) Pierre accepta la présentation de deux candidats Joseph et Matthias et choisit Matthias
C) L’assemblée présenta deux candidats (Joseph et Matthias) et l’on tira au sort et le sort tomba sur Matthias qui fut mis au nombre des douze apôtres.

6- La première communauté chrétienne avait ses caractéristiques :
A) assidue à l’enseignement des apôtres; fidèle à la communion fraternelle, à la fraction du pain et aux prières.
B) assidue à l’enseignement des apôtres, chacun faisait ses prières et s’occupait de ses affaires.
C) chacun s’efforçait de faire de son mieux, de prier dans son coin et de faire attention pour ne pas déranger les autres.

7- ``Un chien vivant vaut mieux qu’un lion mort``. On retrouve cette citation dans :
A) les proverbes
B) Ecclésiaste (ou Qohélet)
C) L’Ecclésiastique (ou Siracide)
8- Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus affectionnait d’une manière spéciale un psaume :
A) le psaume 131 qui décrit l’esprit d’enfance
B) le psaume 117 parce qu’il est le plus court et qu’elle pouvait le réciter en tout temps.
C) le psaume 119 avec ses 176 versets parce qu’il pouvait nourrir sa méditation sans fin.

9- Le  prophète Osée est célèbre pour  la valeur symbolique de son mariage :
A) il s’est marié plusieurs fois et cela signifiait que Dieu est toujours prêt à recommencer.
B) il a pris une femme se livrant à la prostitution. Il a tout fait pour conquérir son amour et ainsi symboliser ce que Dieu fait pour nous aimer malgré nos infidélités.
C) Comme David, il a eu une vie amoureuse mouvementée pour monter qu’il en est ainsi entre Dieu et l’humanité.

10- Les vrais disciples de Jésus sont :
A) ceux qui disent : Seigneur, Seigneur`` (Mt 7, 21)
B) ceux qui prophétisent en son nom, qui chassent les démons en son nom, qui font des miracles en son nom. (Mt 7, 21-23)
C) ceux qui font la volonté de son Père (Mt 7,21)

Réponses : Quiz Biblique

1= B (Jn 21,7) Il s’est habillé avant de sauter à l’eau
2= B (GN 17,17) Tomba la face contre terre, et il se mit à rire.
3= C (Jn 21, 11s) Marie de Magdala parce qu’elle était restée près du tombeau.
4= A (Jn 19-19) ``Jésus, le Nazôréen, le roi des Juifs``
5= C (Actes 1, 21-26) L’assemblée présenta deux candidats (Joseph et Matthias) et l’on tira au sort et le sort tomba sur Matthias qui fut mis au nombre des douze apôtres.
6= A (Actes 2, 42) assidue à l’enseignement des apôtres; fidèle à la communion fraternelle, à la fraction du pain et aux prières.
7= B (Qohélet 9, 4) Ecclésiaste (ou Qohélet)
8= A (Ps 131) le psaume 131 qui décrit l’esprit d’enfance
9= B (Os 1) il a pris une femme se livrant à la prostitution. Il a tout fait pour conquérir son amour et ainsi symboliser ce que Dieu fait pour nous aimer malgré nos infidélités.
10= C Mt 7, 21) ceux qui font la volonté de son Père (Mt 7,21)

Revue Sainte Anne  Juillet et Aout 2013