dimanche 31 juillet 2016

Vienne ton dimanche

Encore ce matin je viens te rencontrer
Avant que les soucis ne viennent m’accabler.
Je me tourne vers toi, mon Père bien-aimé,
Je veux te rendre grâce pour tous tes bienfaits.

Merci pour le repos dans la nuit agitée
À cause des ennuis des caprices du corps.
Merci pour l’énergie que tu me donne encore,
pour les nouvelles forces que je veux employer.

À te reconnaître, à te faire accepter
Je veux être attentif au souffle de ta voix,
Fidèle à tes attentes, à ta mission pour moi,
Fidèle à te servir malgré ma pauvreté.

Je te présente ceux que tu me confieras.
Garde-les à l’abri du mal et du danger.
Je te confie aussi, je ne les oublie pas,
Ceux qui m’ont fait souffrir, ceux qui t’ont offensé.

À l’heure où tu t’incarneras dans le pain et le vin,
Consacrés par mes mains au divin sacrifice,
Nous communierons au corps, au sang du Fils.
Et je m’inclinerai devant celui qui vient.

Toi que rien ne surprend dans nos comportements,
Je prends appui sur toi, sur ton commandement.
Je suis entre tes mains, je suis ton instrument,
La corde de ta harpe et l’écho de ton chant.
L’indigne serviteur qui laboure ton champ.

Nous sommes des serviteurs quelconques.
Nous avons fait seulement ce que nous devions faire.
Luc 17,10

Extrait de son livre Prier dans la tourmente André Bisaillon

Le Messager de Saint-Antoine Juillet –Août 2016


samedi 30 juillet 2016

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 12, 13-21

LA PARABOLE DU RICHE INSENSÉ.

Du milieu de la foule, un homme demanda à Jésus : " Maître, dis à mon frère de partager avec moi notre héritage. " Jésus lui répondit : " Qui m'a établi pour être votre juge ou pour faire vos partages ?" Puis, s'adressant à la foule : " Gardez-vous bien de toute âpreté au gain ; car la vie d'un homme, fût-il dans l'abondance, ne dépend pas de ses richesses. " Et il leur dit cette parabole : " Il y avait un homme riche dont les terres avaient beaucoup rapporté. Il se demandait : Que vais-je faire? Je ne sais pas où mettre ma récolte. Puis il se dit : Voici ce que je vais faire : je vais démolir mes greniers, j'en construirai de plus grands et j'y entasserai tout mon blé et tout ce que je possède. Alors je me dirai à moi-même : Te voilà avec des réserves en abondance pour de nombreuses années. Repose-toi, mange, bois, jouis de l'existence. Mais Dieu lui dit : Tu est fou : cette nuit même, on te redemande ta vie. Et tout ce que tu auras mis de côté, qui l'aura ?" Voilà ce qui arrive à celui qui amasse pour lui-même, au lieu d'être riche en vue de Dieu.

Question

1- Qu'est-ce qui guide nos choix : l'argent, la richesse, le "paraître" ou bien ce qui va nous rendre meilleur, ce qui va nous rendre heureux, ce que les autres attendent de nous.
2- Que demande cet homme ?
3- Que refuse Jésus ?
4- A la lumière de la parabole qui suit, que désigne le mot « avidité » ?
5- Qu’est-ce qui a « bien rapporté » ? En quoi est-ce en opposition avec « ma récolte » ?
6- A qui parle cet homme ? Quel est son projet ? Quelle est sa logique ?
7- Quelle est la logique de la réponse de Dieu ?
8- Contre quel danger Jésus met-il en garde dans la parabole du riche insensé?

Petit commentaire

`` La vie d’un homme, fût-il dans l’abondance, ne dépend pas de ses richesses.``  Lc 12, 15

 Non pas s’enrichir pour soi…

Une petite parabole illustre le propos. Voici un homme riche, il ne manque de rien. De plus, la terre de cet homme a rapporté gros. La terre : d’elle-même, elle a produit du fruit ! Don d'en haut ! Mais cet homme ne se parle qu'à lui-même : je, je, je... Se faisant le centre, il oublie que c'est Dieu qui donne la vie à chaque instant, il s'approprie le don reçu, surtout préoccupé de ne rien en perdre pour lui : mes fruits, mes greniers, mes biens... Il décide de procéder à des agrandissements pour engranger cette récolte abondante et mettre ainsi en réserve, pour lui-même, ce sur quoi il pourra se reposer en sûreté pour des années nombreuses. Au passage, il détruira des greniers jugés trop petits, mais qui seraient bien utiles à d'autres... Parce qu'il a des réserves, il se croit tranquille pour longtemps. Entièrement tourné vers une réalisation égoïste qui ne table que sur la vie présente, notre homme ne prend pas en compte la mort, sa propre mort, dans la solution de son problème.

Insensé, lui dit Dieu, cette nuit, on te redemande ta vie ! Dieu, le maître de la vie, reprendra sa vie ! Contingence de l'existence dont nul n'est propriétaire ; cet homme a cru pouvoir s'assurer lui-même et protéger sa vie par ses biens et voilà qu'il perd tout et se perd.

… Mais s’enrichir en vue de Dieu

Cet homme a manqué d'intelligence en ne s’assurant pas un bonheur solide.
En fait, ce qui importe c’est de s'enrichir en vue de Dieu. Encore un peu énigmatique, cette leçon sera pleinement éclairée par la conclusion de tout le développement, aux v. 33-34. Au lieu de thésauriser pour lui-même, cet homme aurait pu donner ses biens superflus aux pauvres. Il se serait ainsi enrichi pour Dieu et se serait constitué un trésor inépuisable.

Le don

Alors un homme riche dit : Parlez-nous du Don.
Et il répondit :
Vous donnez, mais bien peu quand vous donnez de vos possessions.
C'est lorsque vous donnez de vous-même que vous donnez véritablement.
Car que sont vos possessions, sinon des choses que vous conservez et gardez par peur d'en avoir besoin le lendemain?
Et demain, qu'apportera demain au chien trop prévoyant qui enterre ses os dans le sable sans pistes, tandis qu'il suit les pèlerins dans la ville sainte ?
Et qu'est-ce que la peur de la misère sinon la misère elle-même ?
La crainte de la soif devant votre puits qui déborde n'est-elle pas déjà une soif inextinguible ?

Il y a ceux qui donnent peu de l'abondance qu'ils possèdent - et ils le donnent pour susciter la gratitude et leur désir secret corrompt leurs dons.
Et il y a ceux qui possèdent peu et qui le donnent en entier.
Ceux-là ont foi en la vie et en la générosité de la vie, et leur coffre ne se vide jamais.
Il y a ceux qui donnent avec joie, et cette joie est leur récompense.
Et il y a ceux qui donnent dans la douleur, et cette douleur est leur baptême.
Et il y a ceux qui donnent et qui n'en éprouvent point de douleur, ni ne recherchent la joie, ni ne donnent en ayant conscience de leur vertu.
Ils donnent comme, là-bas, le myrte exhale son parfum dans l'espace de la vallée.
Par les mains de ceux-là, Dieu parle, et du fond de leurs yeux, II sourit à la terre.

Il est bon de donner lorsqu'on vous le demande, mais il est mieux de donner quand on vous le demande point, par compréhension ; et pour celui dont les mains sont ouvertes, la quête de celui qui recevra est un bonheur plus grand que le don lui-même.
Et n'y a-t-il rien que vous voudriez refuser ?
Tout ce que vous possédez, un jour sera donné ;
Donnez donc maintenant, afin que la saison du don soit la vôtre et non celle de vos héritiers.

Khalil Gibran,
Le Prophète, Casterman, 1979

Comment donnons-nous ? Que donnons-nous ?
Prière

Seigneur, donne-moi
une âme de pauvre,
un cœur de chair,
une main ouverte,
un regard d'amour,
une oreille attentive,
une ouverture à tous
et la foi en chacun.
Seigneur, donne-moi tout,
que je puisse le redistribuer
en l'honneur de ton nom.

Marc Jalaber
Prier au quotidien, supplément au n°305
octobre 2008


jeudi 28 juillet 2016

Seigneur, jasons… VACANCES

Seigneur, si vous preniez des vacances… Oups!
Qu’adviendrait-il de notre précieuse planète?
Notre soleil serait-il aussi radieux?
Nos astres brilleraient-ils encore de tous leurs feux?
Notre verdure serait-elle aussi éclatante?
Nos forêts seraient-ils aussi enchanteresses?
Nos rivières et nos lacs regorgeraient-ils encore?

Seigneur, si vous preniez des vacances… Oups!
Qu’adviendrait-il alors de vos précieuses créatures?
Celles-ci seraient-elles de plus en plus inquiètes?
Les malades, de plus en plus souffrants,
Les déprimés, de plus en plus démoralisés,
Les malheureux, de plus en plus tristes,
Les guerres de plus en plus atroces?

Seigneur, il m’est vraiment impossible de penser un seul instant que vous preniez des vacances, sans nous! Même en vacances, à cause de votre Amour infini et inconditionnel, vous ne pourriez cesser un seul instant de nous porter tous dans votre cœur et… Dieu merci! Tel un bon Père tenant la main de son enfant, il ne vous viendra jamais à l’esprit de prendre la route seul, sachant de toute éternité que ce grand voyage terrestre, il ne peut se faire sans Vous! Vous nous laissez libres, tout en étant toujours là, c’est cela votre grand Amour! Comment alors oublier votre précieuse parole :``Je suis le Chemin, la Vérité et la vie``

Mais Seigneur, si nous prenions des vacances sans vous…Oups!
Qu’adviendrait-il alors de Vous?
Seigneur, une seule réponse me vient : Vous seriez immensément habité du même et lourd sentiment de solitude que vous avez connu au Jardin des Oliviers lorsque vous avez trouvé vos amis endormis! Votre cœur serai alors inondé d’une incroyable tristesse… Et malgré tout, à cause de votre Amour infini, vous continueriez de nous aimer comme au premier jour!

À l’aube de ces prochaines vacances, Seigneur, soyez assuré de la fidélité de votre peuple en marche qui, chacun à sa manière, vous rendra grâce en admirant et en contemplant votre immense et belle Création. Émerveillé, il vous adorera! Tout comme saint François d’Assise savait si bien le faire lui aussi! Il s’émerveillait, priait en disant :``Loué sois-tu frère Soleil, sœur Lune et les étoiles, frère Vent, sœur notre mère la terre…``

Seigneur, veillez sur nous tous, vos vacanciers, afin que nous revenions en forme pour continuer notre mission terrestre, répondre à nos engagements et continuer de prendre soin les uns des autres. Qu’on pense par exemple à ce qui vient de toucher les Albertains de Fort McMurray! Quel désastre que ce grand feu surnommé ``Le Monstre``!  Oui l’aide financière se déploie, les gens sont généreux, mais personnellement, je crois aussi qu’une pluie de prières est nécessaire pour éteindre les désespoirs, soutenir le moral et aider chaque personne à se reconstruire personnellement! Tout n’est pas terminé. Il y a tant à faire…

Oui Seigneur, pourquoi ne prendrions-nous pas nos vacances ensemble? Soyez-en le planificateur! Ce que nous vous demandons, c’est de la belle température! Ça partirait bien la saison grandement apprécié!

Anny B. Audet

Le Messager de Saint- Antoine Juillet-Août 2016




mercredi 27 juillet 2016

Quiz Biblique

 Thème : Les couples célèbres de la Bible Gérard Côté, C.Ss.R

Quel était le ou la conjoint (e) de …

1- De son union avec ______ son mari, Ève devint enceinte. (Gn 4,1)
2- Il y avait au temps d’Hérode un prêtre nommé Zacharie; sa femme s’appelait ____ (Lc 1,49)
3- L’ange Gabriel fut envoyé à une jeune fille accordée en mariage à un homme nommé Joseph; cette jeune fille s’appelait _______ (Lc 1,26)
4- Achad prit pour femme ______( 1R 16,31)
5- Au moment d’atteindre l’Égypte, Abraham dit à sa femme ____ (Gn 12,23)
6- Jacob embrassa _____ qu’il aimait beaucoup. (Gn 29,20)
7- Alors Booz dit aux Anciens :`` Vous êtes témoins que j’acquiers pour moi comme femme___ (R1 4, 10)
8- ____ et Hérode font mourir Jean-Baptiste. (Mt 14, 4)
9- Avec la femme d’Urie ____ David engendra Salomon. (2 S 11,5)
10- Près de la croix, se tenait Marie, femme de ____ (Jn 19, 25)

 Choix de réponses :  A) Jézabel, B) Rachel. C) Saraï, D) Élisabeth, E) Ruth, F) Adam; G) Bethsabée, H) Clopas, I) Hérodiade, J) Marie

Réponses Quiz : Les couples célèbres de la Bible  1- Adam; 2- Élisabeth; 3- Marie; 4- Jézabel; 5- Saraï; 6- Rachel; 7- Ruth; 8- Hérodiade; 9- Bethsabée; 10- Clopas

 Évaluation : Vous attribuez 10 points par bonne réponse

Si le résultat se situe :

Entre 80 et 100 points : c’est excellent
entre 60 et 80 points : c’est bon
entre 40 et 60 : c’est moyen
30 points et - : belle occasion de vous améliorer

Revue Sainte Anne Juillet-Août 2016

lundi 25 juillet 2016

La vie de Sainte Anne

Sainte Anne est la mère de la Sainte Vierge Marie, donc la grand-mère de notre Seigneur Jésus. À ce titre, elle est particulièrement écoutée par son petit-fils. La dévotion à Ste Anne s’est développée à partir du 6ème siècle. Elle est la patronne de la Bretagne.

Sainte Anne appartenait à ce peuple choisi qui, dans les desseins de Dieu, devait donner naissance au Sauveur des hommes; elle était de la tribu de Juda et de la race de David. Ses parents, recommandables par leur origine, devinrent surtout illustres entre tous leurs concitoyens par l’éclat d’une vie pleine de bonnes oeuvres et de vertus.

Dieu, qui avait prédestiné cette enfant à devenir l’aïeule du Sauveur, la combla des grâces les plus admirables. Après Marie, aucune femme plus que sainte Anne ne fut bénie et privilégiée entre toutes les autres. Mais si elle reçut tant de grâces, comme elle sut y répondre par la sainteté de sa vie!
Toute jeune enfant, elle était douce, humble, modeste, obéissante et ornée des naïves vertus de son âge. Plus tard, comme elle sut bien garder intact le lis de sa virginité! Comme elle dépassait toutes les filles, ses compagnes, par sa piété, par la réserve de sa tenue, son recueillement et la sainteté de toute sa conduite! Puis, quand il plut à Dieu d’unir son sort à celui de Joachim, combien Anne fut une épouse prévenante, respectueuse, laborieuse, charitable et scrupuleusement fidèle à tous les devoirs de son état, vaquant à propos au travail et à la prière.

Dieu lui refusa longtemps de devenir mère; elle se soumit humblement à cette épreuve et l’utilisa pour sa sanctification. Mais à l’épreuve succéda une grande joie, car de Joachim et d’Anne, déjà vieux, naquit miraculeusement Celle qui devait être la Mère du Sauveur. C’est sans doute un grand honneur pour sainte Anne, que d’avoir donné naissance à la Mère de Dieu; mais il lui revient beaucoup plus de gloire d’avoir formé le cœur de Marie à la vertu et à l’innocence! L’église célébrera dans tous les âges la piété maternelle de sainte Anne, et la gloire de sa Fille rejaillira sur elle de génération en génération.


Le culte de sainte Anne a subi diverses alternatives. Son corps fut transporté dans les Gaules, au premier siècle de l’ère chrétienne, et enfoui dans un souterrain de l’église d’Apt, en Provence, à l’époque des persécutions. A la fin du VIIIe siècle, il fut miraculeusement découvert et devint l’objet d’un pèlerinage. Mais c’est surtout au XVIIe siècle que le culte de sainte Anne acquit la popularité dont il jouit. De tous les sanctuaires de sainte Anne, le plus célèbre est celui d’Auray, en Bretagne; son origine est due à la miraculeuse découverte d’une vieille statue de la grande Sainte, accompagnée des circonstances les plus extraordinaires et suivies de prodiges sans nombre. Sainte-Anne d’Auray est encore aujourd’hui l’objet d’un pèlerinage national, comme il en est aussi au Québec avec Sainte-Anne de Beaupré.

Joachin

Étymologie et signification du prénom Joachim

Le prénom Joachim vient de l’hébreu yehoyagim, `` Iahvé (Dieu) met debout ``.
Joachim est l'époux de sainte Anne et le père de la Vierge Marie, dans la tradition catholique et orthodoxe. Dans la tradition orthodoxe, on appelle Anne et Joachim les `` justes ancêtres de Dieu ``1. Dans la religion musulmane le père de Marie se nomme Imran (sourate La famille de Imran).
Saint Joachim est célébré, avec sainte Anne, le 26 juillet en Occident2 et le 9 septembre en Orient1,3. Jusqu'en 1970, dans le rite romain, il était fêté le 16 août, et de 1738 au xixe siècle, le dimanche dans l'octave de l'assomption. De 1510 à 1738 saint Joachim était fêté le 20 mars, lendemain de la Saint-Joseph.
Histoire et tradition religieuse

Les Évangiles canoniques du Nouveau Testament ne nomment pas les parents de Marie, mais l'histoire de Joachim et d'Anne apparaît dans l'Évangile apocryphe de Jacques. Joachim est décrit comme un homme riche et pieux qui donne régulièrement aux pauvres et au temple4. Cependant, le couple est sans enfants et s'en désole. Lorsque Joachim se rend à une fête religieuse à Jérusalem, le Grand Prêtre refuse à Joachim de déposer ses offrandes, son infertilité étant le signe qu'il était sous la malédiction de la Loi. Joachim, tout couvert de honte, n'ose pas rentrer chez lui et se retire dans le désert auprès de ses bergers. Un jour, un ange apparaît à Joachim et Anne pour leur promettre un enfant. Joachim revient à Jérusalem ; de même Anne part à sa rencontre, et ils se retrouvent à la Porte dorée, l'une des portes de l’enceinte de la ville. Joachim et Anne `` se serrent dans les bras ``5.

Les récits concernant Joachim et Anne sont notamment inclus dans la Légende dorée. Ils sont fréquemment représentés dans l'art chrétien, même si le Concile de Trente a fixé des limites à la représentation issue des Évangiles apocryphes6.
L'attribut traditionnel de Joachim (peinture, statuaire, etc.) est une canne.

dimanche 24 juillet 2016

QUE TON NOM SOIT SANCTIFIE

Père, c’est en m’inspirant des mots que nous a appris ton Fils que je veux aujourd’hui te prier.
Que ton nom soit sanctifié et non bafoué.
Que vienne ton règne d’amour, de justice et de paix.
 Donne-nous le pain dont nous avons besoin pour chaque jour, le pain qui nourrit, bien sûr,
mais aussi le pain de l’amour, et celui du courage…
 Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons nous aussi.
 Car nous avons besoin, pour grandir, de ne pas rester enfermés dans nos fautes et dans nos échecs.
Ne nous laisse pas entrer en tentation, qui détourne de toi et éloigne inexorablement de l’essentiel.

Merci, père de nous permettre ainsi de pénétrer dans ton intimité
et de nous présenter devant toi
tels que nous sommes, sans fard et sans masque.
Et surtout sans crainte de nous sentir rabaissés ou méprisés.

Merci de ne jamais te lasser de nous écouter
et de nous laisser te ``déranger``
quand nous avons besoin de ton soutien.
Merci  de toujours nous donner ton Esprit
lorsque nous demandons avec foi et confiance.
Merci de nous aider à reconnaître sa présence dans nos vies,
comme un mystérieux souffle qui apaise et adoucit.

Yolande Richard

Prions En Église Juillet 2016

samedi 23 juillet 2016

Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc 11,1-13.

 Jésus donne à ses disciples la prière du « Notre Père ».

Un jour, quelque part, Jésus était en prière. Quand il eut terminé, un de ses disciples lui demanda : `` Seigneur, apprends-nous à prier, comme Jean Baptiste l'a appris à ses disciples. `` Il leur répondit : `` Quand vous priez, dites : 'Père, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne. Donne-nous le pain dont nous avons besoin pour chaque jour.

Pardonne-nous nos péchés, car nous-mêmes nous pardonnons à tous ceux qui ont des torts envers nous. Et ne nous soumets pas à la tentation. ' ``  Jésus leur dit encore : `` Supposons que l'un de vous ait un ami et aille le trouver en pleine nuit pour lui demander : 'Mon ami, prête-moi trois pains : un de mes amis arrive de voyage, et je n'ai rien à lui offrir. ' Et si, de l'intérieur, l'autre lui répond : 'Ne viens pas me tourmenter ! Maintenant, la porte est fermée ; mes enfants et moi, nous sommes couchés. Je ne puis pas me lever pour te donner du pain',  moi, je vous l'affirme : même s'il ne se lève pas pour les donner par amitié, il se lèvera à cause du sans-gêne de cet ami, et il lui donnera tout ce qu'il lui faut.  Eh bien, moi, je vous dis : Demandez, vous obtiendrez ; cherchez, vous trouverez ; frappez, la porte vous sera ouverte.  Celui qui demande reçoit ; celui qui cherche trouve ; et pour celui qui frappe, la porte s'ouvre.  Quel père parmi vous donnerait un serpent à son fils qui lui demande un poisson ?  Ou un scorpion, quand il demande un œuf ?  Si donc vous, qui êtes mauvais, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, combien plus le Père céleste donnera-t-il l'Esprit Saint à ceux qui le lui demandent ? ``

Voici quelques questions pour l’Évangile de ce dimanche :

- Où est-ce que j’aime bien prier ?
- A qui ai-je appris à prier ?
- Qu’est-ce que je découvre de la relation de Jésus à son Père qui peut aussi me faire davantage devenir enfant de Dieu ?
- Dans quelles circonstances ai-je été dérangé(e) par un(e) ami(e) ?
- Pourquoi est-ce que je ne demande pas plus son Esprit au Père ?

Petit commentaire

``Demandez et vous obtiendrez, cherchez et vous trouverez ``

Le Seigneur est à notre porte, à celle de nos cœurs, Il attend patiemment que nous lui ouvrions, comme un ami attend quelqu’un qui l’aime.

Par le Notre Père, Jésus nous initie dans la grande famille de Dieu, par Lui nous pouvons tout lui demander; et rien ne peut décourager Dieu, ni le lasser…..


Le `` NOTRE PÈRE `` est une parole d’évangile, le savons-nous? Est-ce que je prie le NOTRE PÈRE comme je compose une adresse ou un numéro de téléphone? Je vous le répète, cette prière est une parole de Jésus… m’arrive-t-il de l’écouter… d’être attentif à ces mots… si oui, le Père de Jésus a une place précieuse dans mon cœur et je crois qu’il m’aime à chaque instant de ma vie…

Quelques éléments à retenir:

1. “Seigneur, enseigne-nous à prier”: Voilà déjà une bonne prière, car nous ne  savons pas comment prier.
2. En appelant Dieu “Père”, nous apprendrons le respect filial et la confiance en  Dieu qui doivent être à la source de notre prière.
3. L’ordre des requêtes du “Notre Père” est important: Jésus nous enseigne à  chercher d’abord la gloire de Dieu, avant de lui présenter ensuite nos besoins.
4. Dieu ne dort jamais; il n’est jamais pris par surprise; il n’est jamais dérangé  quand ses enfants s’approchent humblement de lui et il aime combler les  besoins de ses enfants!
5. En Dieu, il n’y a pas de conflit entre l’obligation de respecter ses promesses et  son désir spontané de répondre à nos prières par amour pour ses enfants.
6. L’argument “a fortiori” de Jésus présuppose la nature pécheresse de l’homme  et la bonté parfaite de Dieu.
7. Puisque la foi n’est pas naturelle en nous, nous avons beaucoup besoin d’être  encouragés à prier avec confiance à notre Père céleste.

jeudi 21 juillet 2016

PRIÈRE POUR LES VACANCES

Aide-nous, Seigneur, à donner à nos corps un repos suffisant,
à nos esprits le calme et la paix.

Garde nos âmes et nos cœurs largement ouverts
à tous nos frères et nos sœurs.

Garde nos pas, Seigneur, afin que sur la route, à la mer,
en montagne, nous soyons gardés de tout danger.

Éclaire-nous, Seigneur, que nous soyons capables d’accueil
 et plus enclins à chercher ce qui unit que ce qui divise.

Donne à ceux et celles qui ne partent pas un peu de repos
dont tu nous gratifies si largement.

Et ramène-nous au sein de la communauté plus dispos et
 plus vaillants à travailler dans l’Amour.



mercredi 20 juillet 2016

Ô Vierge Marie, Souriez-moi toujours!

Souriez-moi, ô ma très douce Mère,
Votre sourire est un reflet du ciel…
C’est un espoir à mon humble prière
C’est un trésor pour le pauvre mortel.


Souriez-moi, Mère toute-puissante,
Votre sourire est un signe vainqueur,
C’est un rayon, c’est une flamme ardente,
C’est un parfum, c’est un baume à mon cœur.


Souriez-moi, mon âme vous implore
Pour obtenir de vous tous les bienfaits…
Et quand je pleure, souriez-moi encore
Consolez-moi par vous plus doux attraits.


Souriez-moi surtout aux heures sombres…
Et quand la mort moissonnera les miens,
Oh! Penchez-vous sur ces précieuses tombes
Dont je laisse le sort entre vos mains!


Souriez-moi, Mère toujours bonne
Votre sourire affirme votre amour.
C’est le bonheur que votre cœur me donne,
Gage du ciel où je veux être un jour!



Centre Missionnaire Sainte-Thérèse

mardi 19 juillet 2016

Ouf enfin les vacances!

Les vacances c’est un temps pour tout…

 un temps pour se reposer de l’année de labeur;
 un temps pour prendre des forces;
 un temps pour jouir du soleil et profiter de la mer;
 un temps pour marcher le long des jolis sentiers;
 un temps pour admirer les couleurs de la nature;
 un temps pour cueillir les fruits de l’été;
 un temps pour s’amuser.
 Passez du temps à rêver;
 Profitez de ce temps pour retrouver les vôtres;
 Prenez le temps de les aimer ;
 Donnez-vous du temps pour prier;
 Disposez de ce temps pour remercier.

Le temps c’est un don de Dieu

Bonnes vacances à tous !
Profitez du beau temps
pour mettre du soleil
dans votre cœur
pour l’année qui vient


lundi 18 juillet 2016

Le père accourt vers toi

Sainte Anne, toi qui fus la grand-maman de Jésus, Fils
Bien-Aimé du Père, tu continues à nous soutenir de ta
prière et de ton exemple pour faciliter cette rencontre
avec ton Petit-Fils. C’est auprès de toi que tant de
personnes accourent, le cœur meurtri par tant de
souffrances, pour le rencontrer.

Aujourd’hui c’est à mon tour, chère grand-maman, de
m’approcher de Jésus. Avec patience, douceur et humilité
tu me guides afin que je vive pleinement ce moment de
rencontre si important.

Merci, grand-maman sainte Anne de ton aide.

Que ma prière, unie à la tienne et celle de Marie, ouvre
mon cœur à la miséricorde du Cœur de Jésus.

Que le Cœur de Jésus guérisse mes peurs pour découvrir
que le Père accourt vers moi, les bras grands ouverts.

Que l’accueil sans limite du Père m’aide à vivre dans la
miséricorde avec mes frères et mes sœurs.

Amen

dimanche 17 juillet 2016

Louez Dieu

C’est la période estivale, le temps des vacances, le temps où le temps prend son temps. C’est un temps plus relax pour certains. Le temps de profiter de la nature, du camping, de l’eau et de la chaleur. C’est aussi le temps propice pour rendre gloire au Seigneur. Louez le Seigneur n’est pas si compliqué, c’est comme une grande série de MERCI.

Merci Seigneur pour la nature que tu m’as donné de contempler.   
Merci Seigneur pour les bonnes personnes qui m’entourent et me rendent meilleur.
Merci Seigneur pour ta présence à mes côtés à chaque jour de ma vie.
Merci Seigneur, parce que ton amour pour moi, j’en suis sûr, est plus grand que mes péchés.
Merci Seigneur pour ton Fils Jésus qui me donne le chemin sûr pour te rencontrer et t’aimer.
Merci Seigneur parce que durant mon année, j’ai réussi à aimer et à être aimé.
Merci Seigneur pour ta grâce et ton amour.

Il vous suffit d’ajouter vos mercis à cette liste. Louez Dieu, ce n’est pas compliqué, c’est rendre grâce pour ce qu’il est pour vous et ce qu’il a fait. Dans un temps de relaxation, c’est le meilleur temps de faire une acclamation de notre joie.




Patrick Côté, curé 

samedi 16 juillet 2016

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 10, 38-42

Jésus rencontre Marthe et Marie

Alors qu’il était en route avec ses disciples, Jésus entra dans un village. Une femme appelée Marthe le reçut dans sa maison. Elle avait une sœur, nommée Marie, qui, se tenant assise aux pieds du Seigneur, écoutait sa parole.  Marthe était accaparée par les multiples occupations du service. Elle intervint et dit : ‘’ Seigneur, cela ne te fait rien ? Ma sœur me laisse seule à faire le service. Dis-lui donc de m’aider. ‘’

Le Seigneur lui répondit :’’ Marthe, Marthe, tu t’inquiètes et tu t’agites pour bien des choses. Une seule est nécessaire. Marie a choisi la meilleure part : elle ne lui sera pas enlevée. ‘’ 

 Pistes réflexions

1- Comment prépares-tu la visite d’un ami?
2- Pour qui (ou pour quoi) t’agites-tu?
3- Sais-tu parfois`` t’arrêter``?
4- Passes-tu du temps avec Jésus?

Petit commentaire

Marthe et Marie représentent un monde idéal. Si Marie représente un monde qui prie et écoute la Parole de Dieu, Marthe représente un monde qui se met au service des autres.  La réponse du Seigneur nous montre, sans besoin de reproche,  non seulement sa priorité mais également  que nos activités caritatives doivent s’enraciner dans l’écoute du Seigneur.   Si nos activités caritatives ne jaillissent pas de notre relation avec le Seigneur, elles  risquent de nous amener vers l’égoïsme  et  nous enfermer en elles-mêmes. Ce jour-là, nous oublierons de vivre pour le Seigneur, et au nom du Seigneur nous vivrons pour les activités caritatives.

L'hospitalité commence par l'accueil.

Marthe et Marie sont complémentaires car on ne peut pas accueillir un ami ou un frère en restant dans la cuisine. Il faut lui tenir compagnie, l'écouter. "L'homme ne vit pas seulement de pains", il a besoin d'un peu d'attention, d'un peu d'amour. Bien sûr il faut penser au repas. Jésus lui- même partagé le pain et le poisson pour nourrir la foule qui venait l'écouter, Il a institué l'Eucharistie.  Nous le voyons bien, Jésus l’invite à cesser de s’agiter et de s’inquiéter pour le repas. Ce qui importe, c’est d’entendre la Parole de Dieu.

C'est également un point fort de la mission pastorale de l'Église, et donc de toute notre communauté chrétienne: savoir accueillir, au nom du Seigneur, ceux qui viennent et qui ont besoin d'être écoutés, aidés, accompagnés, éclairés.

 L'Évangile de ce dimanche vient heureusement nous redire la nécessité, pour bien accomplir notre mission, d'accueillir le Seigneur.

Sans le Seigneur, nous ne pouvons rien faire! Mais il est là, c'est lui qui nous rassemble en l'Église, et nous accueille à la Table de sa Parole, à la Table de son Pain. Il n'attend que notre disponibilité pour se donner, pour nous emplir de sa force, de son Esprit. Alors nous pourrons accueillir comme lui. (Bernard Vollerin)

vendredi 15 juillet 2016

Réflexion

Que fait la fourmi? Pendant l’été,
Elle fait des provisions
Qui doivent lui servir pendant l’Hiver.
Donc, au moment de l’été,
Quand vous êtes heureux
Et dans le calme’
Écoutez
La Parole du Seigneur…
Saint Augustin

Dans Marie-Christine Hazaël-Massieux,
Saint Augustin, une pensée par jour,
Médiaspaul, 2007, p. 77-78

Revue Notre Dame Du Cap Juillet-Août 2016


samedi 9 juillet 2016

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 10, 25- 37

La générosité du Bon Samaritain

Pour mettre Jésus à l'épreuve, un docteur de la Loi lui posa cette question : "Maître, que dois-je faire pour avoir part à la vie éternelle ? " Jésus lui demanda : " Dans la Loi, qu'y a-t-il d'écrit ? Que lis-tu ? " L'autre répondit : " Tu aimeras le Seigneur de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de tout ton esprit, et ton prochain comme toi-même. Jésus lui dit : " Tu as bien répondu. Fais ainsi et tu auras la vie. " Mais lui, voulant montrer qu'il était un homme juste, dit à Jésus : " Et qui donc est mon prochain ? " Jésus reprit : " Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho, et il tomba sur des bandits ; ceux-ci, après l'avoir dépouillé, roué de coups, s'en allèrent en le laissant à moitié mort. Par hasard, un prêtre descendait par ce chemin ; il le vit et passa de l'autre côté. De même un lévite arriva à cet endroit ; il le vit et passa de l'autre côté.  Mais un Samaritain, qui était en voyage, arriva près de lui ; il le vit et fut saisi de pitié. Il s'approcha, pansa ses plaies en y versant de l'huile et du vin ; puis il le chargea sur sa propre monture, le conduisit dans une auberge et prit soin de lui. Le lendemain, il sortit deux pièces d'argent et les donna à l'aubergiste, en lui disant : " Prends soin de lui ; tout ce que tu auras dépensé en plus, je te le rendrai quand je repasserai. " Lequel des trois, à ton avis, a été le prochain de l'homme qui était tombé entre les mains des bandits ? " Le docteur de la Loi répond : " Celui qui a fait preuve de bonté envers lui. " Jésus lui dit : "Va, et toi aussi, fais de même."

Questions de révision et exercices:

 1) Quel genre d'homme était le docteur de la Loi? Quelles étaient sa religion et sa théologie et pourquoi aborda-t-il Jésus?
2) Que cache la question du V.25?
3) Quelles ont pu être les raisons profondes qui incitèrent le sacrificateur et le Lévite à poursuivre leur route sans secourir le blessé?
4) Pourquoi Jésus présente-t-il le bienfaiteur de cette parabole comme un Samaritain?
5) Expliquez ce qui a pu se passer dans le coeur de cet homme pour l'inciter à faire tout ce qu'il a fait.
6) Quel est l'enseignement de cette parabole concernant le prochain? Qui est-il? Donnez-en une définition.

Points de Réflexion

 Voilà une histoire qui nous entraîne de surprise en surprise :

* surprise de découvrir, au détour de la route, un homme à demi mort dans le fossé ;
* surprise du comportement d’un prêtre qu’on pouvait penser édifiant, qui voit et`` ne veut pas savoir ``, sous couvert d’interdit religieux ;
* surprise de la légèreté du pieux lévite pressé de rentrer chez lui après son service au Temple ; il a autre chose à faire que de perdre du temps en s’arrêtant ;
* surprise que le seul à être ému devant le blessé soit ce type qui, a priori, n’a rien de sympathique, un étranger, un mécréant ;
* surprise, espérons-le, de prendre conscience que la route qui descend de Jérusalem à Jéricho passe devant chez moi ; je l’emprunte quotidiennement, c’est la route de mon travail, de mes responsabilités, où je risque, à chaque tournant, de tomber `` par hasard `` sur un blessé de la vie.

Au fond, la seule chose qui ne soit pas une surprise, c’est l’existence de bandits de grand chemin sur nos routes, autant dire : la menace que constitue la présence des `` autres ``, à proximité. `` L’autre `` est un risque pour ma fragile identité, alors, je passe, préférant l’éviter.

Il en est un, pourtant, qui a osé s’approcher, sans peur, sans rejet, sans préjugé, qui s’est laissé toucher par cette personne en détresse, qui est venu à son secours jusqu’au bout. C’est celui que l’on appelle ``le bon samaritain ``, c’est, avant tout, Jésus, le ``  Tout Autre  ``, qui s’est fait proche de moi, `` qui m’a aimé et s’est livré pour moi ``.

Comment ne pas apprendre de cette étonnante proximité à m’approcher de tout autre, si différent soit-il, en lui donnant librement mon attention, ma confiance, en me faisant `` son prochain `` ? Les occasions ne manquent pas dans notre société plurielle où les multiples relations sont si difficiles avec tant d’antagonismes personnels et collectifs, tant de discriminations, de préjugés, de violences, dans l’altérité des races, des cultures, des conditions sociales, des religions, des opinions politiques …

Quelle heureuse surprise ce serait de me laisser toucher par cet ``  autre  ``, au bord de ma route, qui a besoin de moi. Bien sûr, si je le vois, si je m’arrête, pris de pitié, je ne sais pas où cela finira sinon que je risque de payer la note à la place des bandits …

Commentaires proposés par les Carmélites de Frileuse


Le bon Samaritain : Texte à trous

Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho, et il tomba sur ______________ après l'avoir dépouillé, roué de coups, s'en allèrent en le laissant ­­­­­­­­­­­­­­­­_________________.  Il se trouva qu’un_______________ descendait par ce chemin; il le vit et_________ de _______________. Un lévite ___________ de même arriva  en ce lieu;  il le vit et _______________. Mais un ______________________ qui était en  voyage arriva ________________ il le vit et _______________________. Il _________________, banda ses plaies en y versant de l’huile et du vin, le chargea sur sa propre monture, le conduisit à _____________ et ____________________. Le lendemain, tirant ____________, il les donna à ________________ et lui dit : ____________________. 

jeudi 7 juillet 2016

Prière pour aider à pratiquer le lâcher prise.

Aujourd’hui, mon Dieu aide-moi à cesser de résister.
Aide-moi à bien comprendre que si j’accepte les choses qui m’arrivent, elles cesseront de ma faire si mal.
Aide-moi à appliquer les principes de gratitude et d’acceptation dans ma vie, quelle que soit ma situation.

Jean-Paul Simard, écrivain

 Le Messager de Saint-Antoine Juin 2016

mercredi 6 juillet 2016

Laisser le cœur chanter par André Dumont, o.m.i.

Reviens chez nous
Reviens chez nous crier la joie
De tout quitter comme François
Reviens chez nous crier la joie
D’où ta vie rayonne

Reparle-nous d’un Dieu Amour
L’enfant prodigue est de retour
Reparle-nous d’un Dieu Amour
Qui sans fin pardonne

Fais-nous chanter la mélodie
De tout le ciel avec Marie
Fais-nous chanter la mélodie
Que ton cœur fredonne

Raconte-nous ce long regard
Qu’elle avait eu chez nous un soir
Raconte-nous ce long regard
De notre Madone

Marcheur de Dieu sur nos chemins
Reviens passer faisant le bien
Marcheur de Dieu sur nos chemins…

Frédéric Janssoone!

(Hommage au bienheureux Père Frédéric, o.f.m. centenaire de son entrée au ciel le 4 Août 1916)


Revue Notre Dame Du Cap Juillet-Août 2016