dimanche 30 avril 2023

FÊTE DE SAINT JOSEPH ARTISAN et travailleur manuel.

 


Mais aussi Fête du Travail, du Muguet …

Époux de la Vierge Marie (Ier siècle)

1er mai 

 Nous fêtons aujourd'hui, saint Joseph comme artisan et travailleur manuel. Charpentier de son métier, il coopéra par le travail de ses mains à l’œuvre créatrice et rédemptrice, tout en gagnant le pain de la Sainte Famille et, avec Marie, en éveillant à la vie des hommes l'Enfant que Dieu lui avait confié.
Pie XII a institué en 1955 la fête de saint Joseph artisan, destinée à être célébrée le 1er mai de chaque année.
FÊTE DE SAINT JOSEPH ARTISAN et travailleur manuel.

Illustration: vitrail de l'église des Estables, diocèse du Puy (crédit photo Anne); Pie XII est placé sous la protection et l'intercession de Saint Joseph auprès du Seigneur. La phrase 'tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirai mon Église' rappelle, en même temps que la présence de saint Joseph (Patron de l'Église universelle), la protection du Ciel envers l'Église.
Mémoire de saint Joseph, travailleur. Le charpentier de Nazareth travailla pour subvenir aux besoins de Marie et de Jésus et initia le Fils de Dieu aux travaux des hommes. C'est pour cela qu'il est le modèle et le protecteur des travailleurs chrétiens qui le vénèrent en ce jour où, dans de nombreux pays du monde, on célèbre la fête du travail.

Martyrologe romain

«Saint Joseph, aide-nous à mettre l'amour

dans notre travail,

comme tu l'as fait sans bruit

à Nazareth au service de la Sainte Famille.»

samedi 29 avril 2023

La Journée mondiale de prière pour les vocations (30 avril 2023)

 La Journée mondiale de prière pour les vocations a lieu depuis 1964 le 4e dimanche de Pâques, dimanche du Bon-Pasteur. La 60e édition est prévu le 30 avril 2023.

C'est une journée particulière pour prier pour toutes les formes de vocations (prêtres, diacres, vie religieuse, institut séculier, vierges consacrées, laïques consacré-e-s, laïques associé-e-s, mariage) et remercier tous ceux et celles qui ont répondu « Me voici » à l'appel du Seigneur.


Prière pour les vocations

à la suite du Synode 2018 sur les jeunes,
la foi et le discernement vocationnel

 

Seigneur ressuscité,
toi le pèlerin inattendu
sur la route vers Emmaüs,
donne-nous de rejoindre les jeunes
sur leur chemin...
et l'audace discrète
de faire des pas en leur compagnie.

Donne-nous la confiance
qu'en racontant en vérité
nos manières personnelles de douter, de croire et d'espérer,
en les accueillant avec leurs aspirations,
leurs déceptions, leurs attentes,
nous apprenions ensemble
à parler Dieu dans la fragilité de nos mots
et à faire l'expérience partagée d'une proximité en Lui
qui suscite le désir
de la faire goûter sur de nouveaux chemins.

 

Charlotte Plante
Mgr Louis Corriveau

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 10, 1-10

Jésus est la porte et le bon berger

En ce temps-là, Jésus déclara : “Amen, amen, je vous le dis : celui qui entre dans l’enclos  des brebis sans passer par la porte, mais qui escalade par un autre endroit, celui-là est un voleur et un bandit. Celui qui entre par la porte, c’est le pasteur, le berger des brebis. Le portier lui ouvre, et les brebis écoutent sa voix. Ses brebis à lui, il les appelle chacune par son nom, et il les fait sortir. Quand il a poussé dehors toutes les siennes, il marche à leur tête, et les brebis le suivent car elles connaissent sa voix. Jamais elles ne suivront un étranger, mais elles s’enfuiront loin de lui, car elles ne connaissent pas la voix des étrangers.” Jésus employa cette image pour s’adresser aux pharisiens, mais eux ne comprirent pas de quoi il leur parlait. C’est pourquoi Jésus reprit la parole : “Amen, amen, je vous le dis : Moi je suis la porte des brebis. Tous ceux qui sont venus avant moi sont tous des voleurs et des bandits ; mais les brebis ne les ont pas écoutés. Moi, je suis la porte. Si quelqu’un entre en passant par moi, il sera sauvé ; il pourra entrer ; il pourra voler, égorger, faire périr. Moi, je suis venu pour que les brebis  aient la vie en abondance.”

4e dimanche de Pâques A

Porte ouverte sur la vie!

La vocation de tout disciple du Christ prend sa source dans le baptême. En suivant le bon berger, nous passons par la porte qui mène à la vie en abondance.

Jésus nous révèle la raison de sa venue. Il est venu pour que nous ayons la vie en abondance. Je médite cette parole et le sens qu’elle a pour moi. Où sont les sources de vitalité dans ma vie ? Où qu’elles soient, c’est là où je trouverai Dieu.

Mais je pose mon regard également sur ce qui n’est pas source de vie. Y a-t-il quelque chose dans ma vie que je peux éviter ou abandonner ? J’en parle à Jésus, en sachant qu’il comprend.

                  Berger et porte de la vie

 Christ ressuscité est le bon berger qui guide son Église. Il est la porte, ouverte sur la vie de Dieu. Il nous appelle à devenir une famille unie, à être de bons bergers et de bonnes bergères les uns envers les autres et à grandir ensemble dans l’amour.

 
Ce dimanche nous fêtons plusieurs choses importantes : le 4ème dimanche de Pâques et la résurrection du Christ, le dimanche du Bon Pasteur et le dimanche des vocations. Ce qui rassemble toutes ces fêtes et qui constitue le lien entre elles, c’est un verbe que l’on trouve dans toutes les lectures d’aujourd’hui : le verbe appeler. La résurrection est un appel à la vie, le Bon Pasteur appelle ses brebis à la vie, la vocation est un appel de Dieu à la vie avec lui. L’appel est au cœur de ce dimanche de fête.

 

Dieu nous appelle à exercer de bonnes œuvres dans l’intérêt des autres. L’appel de Dieu est toujours dans le but de secourir, de soulager, d’apporter de l’aide, de répondre à un besoin d’autrui. Nous sommes envoyés pour continuer ce que Jésus a fait. Mais rien n’est possible sans lui. Notre mission n’est pas de travailler POUR le Seigneur mais de faire le travail DU Seigneur. L’appel de Dieu ne consiste pas à porter un titre pour se glorifier devant les hommes. L’appel du Seigneur est pour tous. Il compte sur chacun de nous pour être les témoins et les messagers de son amour dans le monde d’aujourd’hui.

 

lundi 24 avril 2023

Porteur de feu


 

À mon réveil, ce matin, trois mots me sont venus qui me restent gravés à l’esprit et au cœur : porteur de feu, depuis, j’essaie d’en trouver le sens et la cohérence.

À la préhistoire, l’homme premier a découvert le feu et a pris soin que jamais ne s’éteigne la flamme vitale afin qu’elle se perpétue jusqu’à nos jours.

L’athlète allume son flambeau à Athènes, et va le  relayer à d’autres athlètes afin de transmettre un message de paix et d’amitié tout au long du parcours vers le pays hôte des Jeux olympiques.

Le feu dans les chaumières pour éclairer, réchauffer, cuisiner, se rassembler.

La foudre, les incendies, les feux de forêt qui détruisent tout sur leur passage, ne laissant que des ruines et désolation. La guerre, les bombes.

Être tout feu tout flamme. Avoir le feu sacré. Avoir un cœur de feu.

Dans l’Évangile : la Pentecôte marque la révélation de l’Esprit aux apôtres :

<< Il est apparut aux onze, pendant qu’ils étaient à table; et il leur reprocha leur incrédulité et la dureté de leur cœur, parce qu’ils n’avaient pas cru ceux qui l’avaient vu ressuscité. Puis il leur dit : Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé.>> (Marc 16, 15-16)

Et c’est ainsi que depuis, par l’onction et par les grâces rattachées à son sacerdoce, le prêtre, et tous les fidèles à sa suite deviennent porteurs de feu. Sa voix se faisant entendre par toute la terre et ses paroles de vie éternelle aux quatre coins qui crucifient le monde.

<<N’éteignez pas l’Esprit
N’éteignez pas trop vite
La flamme qui vacille
Sur la mèche fragile
Où brille encore un peu de vie!
N’éteignez pas!>> -Robert Lebel

André Bisaillon

Le Messager de Saint-Antoine Avril 2023

dimanche 23 avril 2023

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc, 24:13-35

 Sur le chemin d’Emmaüs


Le même jour (c’est-à-dire le premier jour de la semaine), deux disciples faisaient route vers un village appelé Emmaüs, à deux heures de marche de Jérusalem, et ils parlaient entre eux de tout ce qui s’était passé.


Or, tandis qu’ils s’entretenaient et s’interrogeaient, Jésus lui-même s’approcha, et il marchait avec eux.

Mais leurs yeux étaient empêchés de le reconnaître. Jésus leur dit : « De quoi discutez-vous en marchant ? » Alors, ils s’arrêtèrent, tout tristes. L’un des deux, nommé Cléophas, lui répondit : « Tu es bien le seul étranger résidant à Jérusalem qui ignore les événements de ces jours-ci. »

Il leur dit : « Quels événements ? » Ils lui répondirent : « Ce qui est arrivé à Jésus de Nazareth, cet homme qui était un prophète puissant par ses actes et ses paroles devant Dieu et devant tout le peuple : comment les grands prêtres et nos chefs l’ont livré, ils l’ont fait condamner à mort et ils l’ont crucifié. Nous, nous espérions que c’était lui qui allait délivrer Israël. Mais avec tout cela, voici déjà le troisième jour qui passe depuis que c’est arrivé. À vrai dire, des femmes de notre groupe nous ont remplis de stupeur. Quand, dès l’aurore, elles sont allées au tombeau, elles n’ont pas trouvé son corps ; elles sont venues nous dire qu’elles avaient même eu une vision : des anges, qui disaient qu’il est vivant. Quelques-uns de nos compagnons sont allés au tombeau, et ils ont trouvé les choses comme les femmes l’avaient dit ; mais lui, ils ne l’ont pas vu. »

Il leur dit alors : « Esprits sans intelligence ! Comme votre cœur est lent à croire tout ce que les prophètes ont dit ! Ne fallait-il pas que le Christ souffrît cela pour entrer dans sa gloire ? » Et, partant de Moïse et de tous les Prophètes, il leur interpréta, dans toute l’Écriture, ce qui le concernait.

Quand ils approchèrent du village où ils se rendaient, Jésus fit semblant d’aller plus loin.
Mais ils s’efforcèrent de le retenir : « Reste avec nous, car le soir approche et déjà le jour baisse. » Il entra donc pour rester avec eux.

Quand il fut à table avec eux, ayant pris le pain, il prononça la bénédiction et, l’ayant rompu, il le leur donna. Alors leurs yeux s’ouvrirent, et ils le reconnurent, mais il disparut à leurs regards. Ils se dirent l’un à l’autre : « Notre cœur n’était-il pas brûlant en nous, tandis qu’il nous parlait sur la route et nous ouvrait les Écritures ? »

À l’instant même, ils se levèrent et retournèrent à Jérusalem. Ils y trouvèrent réunis les onze Apôtres et leurs compagnons, qui leur dirent : « Le Seigneur est réellement ressuscité : il est apparu à Simon-Pierre. » À leur tour, ils racontaient ce qui s’était passé sur la route, et comment le Seigneur s’était fait reconnaître par eux à la fraction du pain.

23 avril 2023

3e dimanche de Pâques A

Sur nos chemins, il nous rejoint

Le Ressuscité vient toujours à notre rencontre et se fait présent même dans les moments les plus sombres. Par sa parole et son pain de vie, il nous relève et nous réconforte. Engageons-nous avec enthousiasme dans la mission de le faire connaître et aimer

Commentaire :

 

Le chemin est long pour reconnaître Jésus ressuscité. Il ne suffit pas de connaître le déroulement des événements qui viennent de se passer. Cléophas et son compagnon sont au courant de la mort de Jésus et de la découverte du tombeau vide. Ils connaissent même le message des anges transmis par les femmes. Mais ils s’en vont, tristes et désespérés. Celui qu’ils ont suivi depuis des mois est mort.

La foi en la résurrection viendra en deux temps. D’abord ils seront invités à une relecture des Écritures : Jésus, « partant de Moïse et de tous les Prophètes, (il) leur interpréta, dans toute l’Écriture, ce qui le concernait. » La bible annonçait de manière voilée tout ce qui est arrivé à Jésus. Sa mort et sa résurrection sont le chemin par où le salut est offert à toute l’humanité. Déjà le cœur des deux compagnons se réchauffe et ils ont le désir de retenir le mystérieux voyageur qui les a rejoints.

C’est le partage du pain qui va permettre l’accès à la foi. Jésus, renouvelant le geste accompli lors du dernier repas, se manifeste comme le Seigneur vivant. Mais il disparaît aussitôt. Et les deux compagnons font la route à l’envers pour aller porter aux autres disciples la Bonne Nouvelle qu’ils ont reçue.

Pour nous non plus, la connaissance de ce qui est arrivé à Jésus ne suffit pas pour accéder à la foi. Pour nous aussi c’est dans la fréquentation de la Parole de Dieu et dans le partage des sacrements que nous accèderont à la foi en la résurrection du Seigneur. Mystérieusement il chemine avec nous mais nous ne savons pas le reconnaître. Chaque fois que nous célébrons l’eucharistie, nous écoutons la Parole et nous partageons le Pain. Nous vivons à notre tour ce qu’ont vécu Cléophas et son compagnon. Nous reconnaissons le Seigneur ressuscité et nous retrouvons la force et l’espérance pour aller en témoigner au cœur du monde.

 https://saint-aubin-clermont.catholique.fr/mercredi-12-avril-2023-octave-de-paques/

PAROLES DU SAINT PÈRE

 La rencontre de Jésus avec ces deux disciples semble être entièrement fortuite: elle ressemble à l’une des innombrables croisées de chemins qui se présentent dans la vie. Les deux disciples marchent, pensifs, et un inconnu marche à côté d’eux d’eux. C’est Jésus; mais leurs yeux ne sont pas en mesure de le reconnaître. Et alors, Jésus commence sa «thérapie de l’espérance». Ce qui a lieu sur cette route est une thérapie de l’espérance. Qui la fait? Jésus.

Avant tout, il demande et écoute: notre Dieu n’est pas un Dieu envahissant. Même s’il connaît déjà le motif de la déception de ces deux hommes, il leur laisse le temps de pouvoir sonder en profondeur l’amertume qui les a gagnés. Il en découle une confession qui est un refrain de l’existence humaine: «Nous espérions, mais... Nous espérions, mais...» (v. 21). Combien de tristesses, combien d’échecs y a-t-il dans la vie de toute personne! Au fond, nous sommes tous un peu comme ces deux disciples. Combien de fois dans la vie avons-nous espéré, combien de fois nous sommes-nous retrouvés à terre, déçus. Mais Jésus marche avec toutes les personnes découragées qui avancent tête basse. Et en marchant avec elles, de manière discrète, il réussit à redonner espoir. (Audience générale, 24 mai 2017)

 
https://www.vaticannews.va/fr/evangile-du-jour/2023/04/12.html

 Piste de réflexion

 1) Deux hommes marchent sur la route menant de Jérusalem à Emmaüs. Ils discutent entre eux. De quoi discutent-ils ?

2) Tandis qu’ils marchent, Jésus les rejoint. Ils ne le reconnaissent pas. Pourquoi ?

3) Pressentant leur tristesse (‘Ils ont un air sombre’ nous dit le texte), Jésus leur en demande la cause. Que lui répondent-ils ?

4) Après les avoir écoutés, Jésus leur fait un reproche. Lequel ? Leur pose une question. Laquelle ? En quoi cette question est-elle toujours actuelle ?

5) Pour les amener à le reconnaître, à ouvrir leurs yeux, Jésus va faire deux choses. Lesquelles ? (Parcourir les Écritures - Briser le pain)

6) Que recherche  Jésus en parcourant les Écritures ?  (Leur montrer que sa mort était annoncée par les prophètes)

7) Que recherche  Jésus en ‘brisant le pain’ (Leur rappeler que lors de son dernier repas, il avait lui-même annoncé sa mort, et mieux que ça, en avait donné le sens)

8) Quel sens, Jésus donne-t-il à sa mort ? (prendre sur lui le péché du monde, vivre la foi jusqu’à l’extrême, aimer jusqu’à l’extrême)

9) Que se passe-t-il lorsque que les yeux des deux disciples s’ouvrent, lorsqu’ils entrent dans la foi ?

 

samedi 22 avril 2023

Quiz : Découvrez les 12 Questions et Réponses importantes à connaître pour le Jour de la Terre 2023 avril 22, 2023 par Sophie

 


Testez vos connaissances sur la Journée de la Terre 2023 avec ce quiz : Quel est l’objectif de la Journée de la Terre ? Quelles mesures pouvons-nous prendre pour contribuer à la protection de l’environnement ? Quels sont les principaux éléments d’un mode de vie respectueux de la Terre ?

Il s’agit d’un événement annuel qui a lieu le 22 avril dans le monde entier. Nous avons actuellement un quiz composé de 12 questions qui sont la clé de divers jeux organisés un peu partout dans le cadre de la Journée de la Terre 2023.

Quiz du jour de la Terre 2023

1 – Quel était le thème du Jour de la Terre 2022 ?

A : Investir dans notre planète
B : Pour préserver et protéger notre planète
C : Tout le monde responsable de la planète Terre
D : Restaurer notre Terre

Réponse : A

Le thème de la Journée de la Terre 2022 est « Investir dans notre planète », soulignant la nécessité d’agir pour garantir notre santé, nos familles et nos emplois. En cette journée, il est impératif d’agir avec courage, de penser de manière créative et d’exécuter avec équité.

2 – Quelle affirmation est bonne ?

1. La mode durable fait référence à une chaîne d’approvisionnement en vêtements qui est écologiquement et socialement responsable.
2. L’industrie de la mode est responsable de plus de 8 % des émissions totales de gaz à effet de serre.

A : Seulement 1
B : Seulement 2
C : Les deux 1 et 2
D : Ni 1 ni 2

Réponse : C

La mode durable est un type de production de vêtements qui est favorable à la fois à l’environnement et à la société. En outre, l’industrie de la mode crée une quantité importante d’émissions de gaz à effet de serre, représentant plus de 8 % des émissions mondiales.

3. Quand le Jour de la Terre est-il célébré ?

A : 20 mars
B : 22 avril
C : 5 juin
D : 24 septembre

Réponse : B

La Journée de la Terre est célébrée chaque année le 22 avril.

4. Quand a-t-on célébré le premier Jour de la Terre ?

A : 1992
B : 2001
C : 1970
D : 1982

Réponse : C

Le 22 avril 1970 a marqué l’inauguration de la planète Terre et en 2020 nous avons célébré les 50 ans de la création du jour de la Terre.

5. Qui est appelé le père du Jour de la Terre ?

A : Gaylord Nelson
B : Vandana Shiva
C : Wangari Maathai
D : Mark Boyle

Réponse : A

La Journée de la Terre a été créée par le sénateur américain Gaylord Nelson pour promouvoir l’éducation à l’environnement.

6. Quel était le thème du Jour de la Terre 2020 ?

A : Rime avec la nature
B : Mettre fin à la pollution plastique
C : Sauvez notre espèce
D : Action pour le climat

Réponse : D

Le thème du Jour de la Terre 2020 était « Action climatique« . Alors que le thème de la journée de la terre 2019 était « Sauvez notre espèce ».

7. Le Jour de la Terre est un… événement

A : Événement annuel
B : Événement de deux ans
C : Événement de trois ans
D : Événement de quatre ans

Réponse : A

Chaque année, plus d’un milliard de personnes dans 192 pays commémorent la Journée de la Terre.

8. Les premières célébrations du Jour de la Terre ont eu lieu en……

A : Suède
B : États-Unis
C : Suisse
D : Japon

Réponse : B

La première Journée de la Terre a eu lieu aux États-Unis, rassemblant environ 20 millions de personnes dans un élan de solidarité en faveur d’une réforme écologique.

9. Quelle est la raison la plus appropriée d’observer le jour de la terre chaque année ?

A : Soutenir la protection de l’environnement
B : Pour protéger l’espèce
C : Pour sauver la couche d’ozone
D : Rien de ce qui précède

Réponse : A

La Journée de la Terre est une journée consacrée à la sensibilisation et à la défense de l’importante tâche que représente la préservation de l’environnement. Il s’agit notamment de faire campagne et d’œuvrer pour que les ressources de notre planète soient protégées et conservées.

10. Lequel des thèmes suivants ne correspond pas correctement ?

A :  « Littératie environnementale et climatique : 2017
B : Action pour le climat : 2020
C : Sauvez notre espèce : 2019
D : Mettre fin à la pollution plastique : 2021

Réponse : B

« Fin de la pollution plastique » était le thème de 2018. Alors que le thème de la journée de la terre 2020 était « Action climatique ».

11. Quel est le thème du Jour de la Terre 2023 ?

A : Terre, ton ami.

B : La Terre est dans le besoin.

C : Investir dans notre planète

D : La nature appelle à l’aide

Réponse : C

En 2023 le thème « Investir dans notre planète », permettra à plus d’un milliard de personnes de célébrer le Jour de la Terre pour protéger la planète contre des choses comme la pollution et la déforestation.

12. Qui a fondé le Jour de la Terre ?

A : Denise Hayse

B : Gaylord Nelson

C : Ira Einhorn

D : Rachel Carlson

Réponse : B

Gaylord Anton Nelson a été sénateur et gouverneur des États-Unis qui a fondé le Jour de la Terre, qui a lancé une nouvelle vague d’activisme environnemental.

Merci de partager l’article à votre entourage et sur vos réseaux sociaux afin de sensibiliser un maximum de monde sur les actions à mener sur le climat et l’écologie de notre planète.

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mercredi 19 avril 2023

Brins de sagesse africaine

 Chaque continent, chaque pays, chaque peuple développe sa pensée à partir de son expérience de vie, de la découverte de la nature qui l’environne et des apprentissages liés à la vie sociale. Aujourd’hui, découvrons ensemble quelques perles de la sagesse venues des populations du grand monde africain.

Celui qui rame dans le sens du courant fait rire les crocodiles.
Quiconque taquine un nid de guêpes doit  savoir courir.
C’est en essayant encore et encore qu’un singe apprend à bondir.
Le coassement des grenouilles n’empêche pas un éléphant de boire.
Même si le gnou mange l’herbe, elle continue de pousser.
Le lion dort avec ses dents.
Traverse la rivière avant d’insulter le crocodile.
Ne te laisse pas lécher par qui peut t’avaler.
Là où est le cœur, les pieds n’hésitent pas à aller.
Tout seul, on va plus vite. Ensemble, on va plus loin.
Pour se réconcilier, on n’apporte pas un couteau qui tranche, mais une aiguille qui coud.
Quand tu marches, le pagne dure; quand tu es assis, le pagne s’use.
Dieu n’a fait qu’ébaucher l’homme; c’est sur terre que chacun se crée.
Le lion a beau avoir quatre pattes, il ne peut emprunter qu’un chemin à la fois.
Le soleil n’ignore pas un village parce qu’il est petit.
Il faut tout un village pour élever un enfant.
Le mensonge donne des fleurs, non des fruits.
Un seul doigt ne peut prendre un caillou.
Le fleuve fait des détours parce que personne ne lui montre le chemin.
On ne tire pas sur une fleur pour la faire pousser.
Le bœuf ne se vante pas de sa force devant l’éléphant.
Le cœur amer mange son maître.
Même le poisson qui vit dans l’eau a soif.
Un grain de maïs a toujours tort devant une poule.

Abbé Denis Villeneuve,
prêtre et directeur de la revue.

Le Messager de Saint-Antoine d’avril 2023


lundi 17 avril 2023

17 avril 2023 – Sainte Kateri Tekakwitha

 

Cette fête en mémoire de Kateri Tekakwitha nous offre l’occasion de réfléchir aux relations que nous entretenons avec nos frères et sœurs autochtones, de prier pour eux et avec eux et de nous ouvrir à la richesse de leurs cultures et de leurs spiritualités. Kateri peut-elle être cette femme inspirante susceptible de nous aider à découvrir et à mieux comprendre les Premiers Peuples dont elle faisait partie ? Peut-elle nous aider à bâtir des ponts entre nos différentes cultures autochtones et allochtones pour apprendre à mieux nous apprécier ? À instaurer la solidarité et la fraternité entre nous ? Faisons appel à elle pour qu’elle nous guide jusqu’à la source du Grand Mystère afin que nous y puisions ce dont nous avons besoin pour marcher dans la justice et vers la réunion de nos peuples. (Extraits)

 Kateri Tekakwitha – Autochtone du continent nord-américain (1656-1680)

 Kateri est la première sainte autochtone du continent nord-américain. Elle est née d’une mère algonquine chrétienne et d’un père agnier (Les Algonquins, les Agniers – ou Iroquois – et les Hurons étaient des tribus des Indiens d’Amérique du Nord) en 1656 à Ossernenon (Auriesville, New York), où les saints Isaac Jogues, René Goupil et Jean de la Lande avaient versé leur sang pour la foi. Fille de chef, elle refusa d’être mariée et convertit celui qu’elle devait épouser.

Après bien des péripéties, elle trouve refuge à la mission jésuite Saint-François-Xavier sur le Saint-Laurent. Là elle mènera une vie de prière et de travail exemplaire. Elle y mourra en 1680.
Tekakwitha, née en 1656 à Ossernenon (USA), était fille d’un chef mohawk et d’une algonquine catholique, baptisée et éduquée par des missionnaires français. La variole la priva à quatre ans de sa famille, et elle-même resta défigurée et handicapée des suites de l’infection. Adoptée par un parent chef d’une tribu voisine, elle affermit sa foi et fut baptisée par un missionnaire à l’âge de vingt ans. Marginalisée et menacée par sa famille, qui ne comprenait pas sa conversion, elle échappa à leur persécution et fonda à Kahnawake une communauté d’indiens chrétiens, vivant dans la prière, la pénitence et le soin des malades. Elle mourut en 1680, invoquant Jésus, après avoir fait vœu de chasteté l’année précédente. La tradition affirme que ses cicatrices disparurent pour faire place à un beau visage, et qu’à son enterrement de nombreux malades furent guéris. Son procès en canonisation fut ouvert en 1884, Pie XII la proclama vénérable en 1943 et Jean-Paul II bienheureuse en 1980 (fête le 14 juillet). Canonisée le 21 octobre 2012 à Rome. Elle occupe une place particulière dans la dévotion des amérindiens catholiques du Canada et des Etats-Unis.

 
https://missioncheznous.com/memoire-de-kateri-le-17-avril-edition-2023/

samedi 15 avril 2023

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 20, 19-31

 La paix soit avec vous

C’était après la mort de Jésus. Le soir venu, en ce premier jour de la semaine, alors que les portes du lieu où se trouvaient les disciples étaient verrouillées par crainte des Juifs, Jésus vint, et il était là au milieu d’eux. Il leur dit : « La paix soit avec vous ! » Après cette parole, il leur montra ses mains et son côté. Les disciples furent remplis de joie en voyant le Seigneur.

  Jésus leur dit de nouveau : « La paix soit avec vous ! De même que le Père m’a envoyé, moi aussi, je vous envoie. » Ayant ainsi parlé, il souffla sur eux et il leur dit : « Recevez l’Esprit Saint. À qui vous remettrez ses péchés, ils seront remis ; à qui vous maintiendrez ses péchés, ils seront maintenus. »

 Or, l’un des Douze, Thomas, appelé Didyme (c’est-à-dire Jumeau), n’était pas avec eux quand Jésus était venu. Les autres disciples lui disaient : « Nous avons vu le Seigneur ! » Mais il leur déclara : « Si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous, si je ne mets pas mon doigt dans la marque des clous, si je ne mets pas la main dans son côté, non, je ne croirai pas ! »

  Huit jours plus tard, les disciples se trouvaient de nouveau dans la maison, et Thomas était avec eux. Jésus vient, alors que les portes étaient verrouillées, et il était là au milieu d’eux. Il dit : « La paix soit avec vous ! » Puis il dit à Thomas : « Avance ton doigt ici, et vois mes mains ; avance ta main, et mets-la dans mon côté : cesse d’être incrédule, sois croyant. » Alors Thomas lui dit : « Mon Seigneur et mon Dieu ! » Jésus lui dit : « Parce que tu m’as vu, tu crois. Heureux ceux qui croient sans avoir vu. »

 Il y a encore beaucoup d’autres signes que Jésus a faits en présence des disciples et qui ne sont pas écrits dans ce livre. Mais ceux-là ont été écrits pour que vous croyiez que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu, et pour qu’en croyant, vous ayez la vie en son nom.

QUESTIONS

1. Quel jour de la semaine Jésus ressuscita-t-Il des morts?

 2. Après Sa résurrection, combien de temps mit-Il à se montrer à ses Apôtres pour la première fois?

3. Citez les preuves données par Jésus de Son corps ressuscité ?

4. Citez les diverses apparitions de Christ le jour de Pâque ?

5. Recherchez les prophéties concernant la mort et la résurrection de Christ ?

 6. Quel jour de la semaine Jésus se montra-t-Il pour la deuxième fois à Ses Apôtres?

 7. Qui était absent à la première apparition?

8. Pourquoi est-il important que nous ayons la preuve de la résurrection du corps de Jésus?

9. Décrivez ce que vous pouvez sur le corps glorifié.

10. Comment un corps glorifié diffère-t-il d’un esprit?

16 avril 2023

2e dimanche de Pâques A

Nous, heureuses et heureux de croire!

Rien n’empêche Jésus ressuscité de se rendre présent aux disciples. Il est vainqueur de la mort et aussi de la peur et de l’incrédulité.

 
DIMANCHE DE LA MISÉRICORDE DIVINE

Nous voilà célébrant juste après le dimanche de Pâques, le dimanche de la Divine Miséricorde ; entendons les paroles du Christ nous dire: « La Paix soit avec toi ».

Nous sommes appelés à être des Miséricordieux, alors qu’attendons-nous pour vivre de cette Paix qui nous est donnée chaque dimanche lors de l’eucharistie pour en vivre ?
Le passage reçu de l’évangile de St Jean en ce dimanche nous montre les disciples qui se sont enfermés, toutes portes verrouillées, par peur des juifs. Et voici que Jésus, qu’ils savent mort, vient au milieu d’eux et, que leur dit-il ? : « La Paix soit avec vous » !

Dans l’aujourd’hui de nos vies, il ne cesse de nous donner sa paix, dans chaque eucharistie, il commence par nous donner sa paix parce qu’il ne veut pas que nous soyons focalisés sur nos lâchetés, sur nos insuffisances, sur nos médiocrités qui nous empêcheraient de goûter à la joie infinie de sa présence.
Il est là, à nos côtés, qui ne nous condamne pas, il nous fait miséricorde.  

Et il insiste, en disant à nouveau aux disciples : « La paix soit avec vous » rejoignant en cela les disciples de tous les temps. « De même que le Père m’a envoyé, moi aussi je vous envoie. Recevez l’Esprit Saint. A qui vous remettrez ses péchés, ils seront remis ».
La paix est offerte à chacun de nous ce matin à travers la Parole de Dieu que nous accueillons dans la foi.
Puissions-nous être des instruments de cette Paix partout là où nous sommes envoyés, prions sans cesse pour que la Paix règne en ce monde, que les conflits cessent enfin, construisons cette Paix dès maintenant.

Et comme Thomas qui est invité à croire que la miséricorde du Seigneur a triomphé du péché, commençons par rester quelques instants à ses côtés pour confesser Sa présence en nos cœurs et ainsi être réconciliés avec le Père et devenir à notre tour témoin de ce pardon dont Thomas est bénéficiaire.

« Christ est ressuscité, en vérité il est ressuscité, devenons des êtres Miséricordieux! »

Philippe Germain, diacre

https://www.secteurlongjumeau.fr/2023/04/13/edito-du-2eme-dimanche-de-paques-16-avril2023/

 PAROLES DU SAINT PÈRE

Le Seigneur ne cherche pas de chrétiens parfaits ; le Seigneur ne cherche pas de chrétiens qui ne doutent jamais et affichent toujours une foi sûre. Quand un chrétien est comme cela, il y a quelque chose qui ne va pas. Non, l’aventure de la foi, comme pour Thomas, est faite d’ombres et de lumières. Sinon, quelle foi serait-ce ? Elle connaît des moments de consolation, d’élan et d’enthousiasme, mais aussi de lassitude, de désorientation, de doute et d’obscurité. L’Evangile nous montre la « crise » de Thomas pour nous dire que nous ne devons pas craindre les crises de la vie et de la foi. Les crises ne sont pas un péché, elles sont un chemin, nous ne devons pas les craindre. Souvent, elles nous rendent humbles, car elles nous dépouillent de l’idée que tout va bien, que nous sommes meilleurs que les autres. Les crises nous aident à nous reconnaître dans le besoin : elles ravivent notre besoin de Dieu et nous permettent ainsi de revenir vers le Seigneur, de toucher ses plaies, de faire à nouveau l’expérience de son amour, comme nous l’avons fait la première fois. Chers frères et sœurs, une foi imparfaite mais humble, qui revient toujours à Jésus, est préférable à une foi forte mais présomptueuse, qui nous rend fiers et arrogants. (Regina Caeli, deuxième dimanche de Pâques ou Divine Miséricorde, 24 avril 2022)