Seul un grand esprit de sacrifice permet de sauvegarder et
de perfectionner la communion familiale. Elle exige en effet une ouverture
généreuse et prompte de tous et de chacun à la compréhension, à la tolérance,
au pardon, à la réconciliation. Aucune famille n’ignore combien l’égoïsme, les
dissensions, les tensions, les conflits font violence à la communion familiale
et peuvent même parfois l’anéantir : c’est là que trouvent leur origine
les multiples et diverses formes de division dans la vie familiale. Mais, en
même temps, chaque famille est toujours invitée par le Dieu de paix à faire
l’expérience joyeuse et rénovatrice de
la ‘’réconciliation``, c’est-à-dire de la communion restaurée, de l’unité
retrouvée.
Saint Jean Paul 11,
Familiaris Consortio, &21
1- Question pour susciter la réflexion
2- À quel moment me suis-je vraiment senti pardonné et
réconcilié avec une autre personne? Comment est-ce que je sais que cette
personne m’a pardonné?
En se rappelant qu’aller se faire confesser non seulement
nous réconcilie avec Dieu mais aussi donne la grâce d’être une meilleure
personne, quelle fréquence avec laquelle notre famille devrait d’y aller?
3- Quand il existe un désaccord entre moi et une aitre
personne, qu’est-ce que cela prend pour nous réconcilier? Comment puis-je
pardonner quand l’autre personne n’est pas désolée?
4- Est-ce que se réconcilier signifie que je dois penser que
ce qui a été fait est juste?
Extrait revue Columbia des chevaliers de Colomb Janvier 2015
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire