Seigneur Jésus,
Comme les bergers,
je veillais dans le noir, je ne campais pas très loin d’ici. Mais c’est le
temps de Noël. Alors, je suis venu te voir…
Excuse-moi si mes
moutons m’ont suivi. Mes moutons à moi, ce sont mes soucis, mes problèmes; ce
sont mes joies, mes espoirs. Et puis, regarde : il n’y a pas que moi… De
partout, d’autres gens sont venus : c’est tout le troupeau de l’Église,
c’est toute l’espérance du monde que je sens à mes côtés.
Alors, je viens
t’offrir tout cela, puisqu’on m’a dit que c’était pour un partage tout, que tu
t’es fait homme.
J’ai bien mal à
comprendre tout ce que disent là-dessus les prêtres et les savants…. Mais je
vais m’en retourner, en ayant compris une chose : quand je ris et quand je
pleure, quand je travaille et quand je me repose, quand je me fâche et quand je
me réconcilie, quand je vois naître et quand je vois mourir… Tu es toujours
avec moi, avec nous, depuis que tu as voulu vivre cela, comme moi, comme nous.
Merci Seigneur
Jésus, d’être venu. Donne-moi la main : Ça aide tellement quand il y a un
passage difficile à traverser. Je te donne la mienne pour t’aider à mettre un
peu plus de joie dans ce monde.
Source: les Associés(es) Petite Franciscaine de Marie
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