Théo est un petit garçon d’une dizaine d’années qui vit en France. Il vient de déménager à la montagne. Ses parents ont quitté la ville depuis plusieurs mois pour offrir à leurs enfants une vie plus proche de la nature. Si le changement a été difficile pour lui car il s’est retrouvé privé de ses amis, principalement de son meilleur et fidèle ami, il s’est habitué. Les enfants ont une grande capacité d’adaptation au changement. Il trouve que, oui, en fin de compte, en Savoie, la vie est plus agréable qu’en région parisienne mais cela, il n’a jamais osé le dire à ses parents.
Théo est un enfant qui a le sourire accroché
au visage, le sourire du cœur. Il a un grand sens de l’humour rafraichissant et
il est espiègle à ses heures. Il est empli de vivance et de bienveillance. Théo
aime sentir qu’il compte pour quelqu’un, en dehors de ses parents. Aussi,
l’amitié est un lien important dans sa vie, il ne saurait vivre sans élan de
coeur. Avec un ami, il peut s’amuser de tout et de rien, raconter aussi ses
peines et ses soucis mais surtout jouer, dire des bêtises, faire rire l’autre.
Dans son petit coin de pays, l’amitié, tout comme une fleur, a su trouver un
espace pour naître et s’épanouir en lui. A peine quelques mois et tout plein
d’enfants sont devenus ses amis. Il faut dire que sa présence est comme un
rayon de soleil, une brise douce et légère qui emporte tous les soucis. Avec
son cœur grand comme le monde, son empathie, il sait être à l’écoute des besoins
de ses amis et de leur cœur. Les autres enfants le savent bien et tout le monde
veut être ami avec lui. Une activité sportive intense lui permet de
canaliser son énergie débordante et lui permet ainsi d’être dehors, au contact
de la nature qu’il affectionne tout particulièrement.
Théo est un enfant de l’ère numérique. Sa
passion, comme tous les jeunes de son âge réside dans les jeux vidéo, des jeux
où il pourrait passer des heures si ses parents ne le stoppaient pas. Il vit
comme s’il était en fait dans 2 mondes : celui de la réalité avec sa
famille, et celui du virtuel avec ses jeux vidéo. Il aime finir rapidement ses
devoirs chaque soir pour aller se réfugier dans ce monde irréel. A chaque
moment qu’il a de libre, il ne pense qu’à une chose : aller rejoindre
les amis virtuels, des amis de partout sur la planète pour aller s’évader dans
ce faux monde. Ses jeux préférés sont des jeux de survie, de combat. Il aime,
dans les jeux, se couper du monde, s’envoler dans un lieu qui lui semble
n’appartenir qu’à lui. Il a une grande dextérité qui lui fait réussir de belles
performances. Là, il est libre de faire ce qu’il veut. Il peut voyager,
participer à des raids des plus audacieux, oser expérimenter ce dont il a
envie, se battre avec des gros durs. A ses heures, il choisit ses mondes, soit
une île où il doit combattre pour sa survie, soit un monde néo-futuriste où il
devient un personnage hors la loi, obsédé par les explosifs.
Alors lorsque l’école a été temporairement
supprimée de son paysage quotidien, en raison de la pandémie, de suite, il a
été ravi de cette nouvelle. Au tout début, avec son frère, ils se sont sentis
en vacances. Quel délice de rester chez soi, au fond de son lit juste à l’heure
où il aurait fallu se lever avec empressement, avaler son petit déjeuner et
sauter dans le bus pour rejoindre l’école. Les télé-devoirs n’ayant pas encore
été organisés au tout début du confinement, il s’est adonné avec empressement
et joie aux jeux vidéo jusqu’alors autorisés avec des plages horaires.
Tout nouveau, tout beau ! Mais le confinement obligatoire se prolongeant, il
découvre une toute autre vie avec ses parents et son frère. Les fenêtres
ouvertes, la nature s’invite chez eux avec les chants joyeux des oiseaux qui
picorent sur le balcon les graines déposées, ravis qu’on les remarque. Toute la
famille joue ensemble à des jeux. Des parties endiablées en famille donnent du
relief aux journées. Lorsqu’il gagne, il se sent grand, fort et surtout reconnu
et apprécié des siens et cela lui fait tellement de bien. Il lui semble
que tout plein de plaisirs donnent bon goût à la vie. C’est comme si la vie
s’était emplie de moments d’appréciation, de bonheur, de présence de ses
parents. Il apprécie ces moments du quotidien et trouve que la vie s’est
ralentie. Le voici en train de faire de la cuisine avec son papa tandis que sa
maman se repose. Il a tout le temps pour les câlins avec sa Maman. Alors il en
profite au maximum. Il ne se lasse pas d’être bien avec eux. Sa famille
éloignée lui manque un peu mais il peut les rejoindre quand il veut avec les
applications de son téléphone intelligent. Il ressent ses parents heureux
d’être avec lui et son frère et cela fait de lui un enfant heureux.
Ses jeux vidéo de bagarre, de combat perdent
alors de leur intérêt. Il se rend compte que ses jeux l’emportaient dans un
lieu qui le coupe des siens et lui, ce qu’il aime maintenant c’est d’être
proche d’eux. Il veut savourer ce temps de relation avec les êtres qu’il aime.
Sa vie s’emplit de temps… Le temps après lequel sa maman courait est devenu du
temps de présence à la maison. Chacun se retrouve avec du temps. Sa maman a du
temps pour lui, pour l’écouter, le rassurer aussi.
Être rassuré est important pour son cœur de
petit garçon, surtout en ces temps incertains. Ce soir, il a entendu que le 1/3
de la planète était touché par la pandémie. Il a entendu que le virus touchait
tout le monde, petits et grands, jeunes comme moins jeunes, celles et ceux qui
avaient un système immunitaire plus faible que la normale. Personne n’est
épargné. Alors, ce soir, il ne sait pas ce qui se passe mais c’est comme
si un ciel lourd s’était niché dans son cœur. Il a l’impression d’être
dans l’un de ces jeux de combat mais avec la touche pause manquante. Autant
c’était amusant de combattre dans un jeu vidéo, autant là, dans la vraie vie,
c’est tout autre chose. De jeu, il s’agit en fait du jeu de sa vie et le combat
n’a plus du tout la même saveur. Le combat est bien réel et la règle du jeu est
inconnue ou plutôt impose une confrontation brutale à la vie ou la
mort. Le scénario s’écrit de jour en jour, les personnages sont tirés au
hasard de la vie. Les gouvernements de chaque pays tentent de trouver des
stratégies pour sauver les peuples mais il semble que rien ne puisse empêcher
la propagation du virus. Pas d’astuce, pas de contournement, pas de négociation
possible ! Une menace repose sur sa vie, celle des êtres qu’il aime et sur le
devenir de l’humanité, sur la planète tout entière. Le village voisin est en
quarantaine. Alors ce soir, il aimerait pleurer, être rassuré mais il n’ose pas
parler à ses parents. Il les a entendus chuchoter que l’on était comme en temps
de guerre et que la guerre était contre un ennemi invisible. Tous ces mots
effrayants se bousculent et tournent en boucle entre ses 2 oreilles. La peur
tenaille son ventre. Comment confier à ses parents qu’il a peur de perdre des
gens qu’il aime, qu’il entend trop de choses difficiles ? Il aimerait avoir un
bouclier de super héros pour repousser la peur, le désespoir, ou avoir entre
les mains une épée aux pouvoirs magiques qui pourraient anéantir ce virus.
S’identifier à un héros dans sa vie réelle, il aimerait bien mais il ne peut
pas, il se sent impuissant…
Perdu dans ses pensées de peur, de
tristesse, Théo regarde dehors. Il pleut. Il pleut sur sa vie En regardant la
pluie, il voit alors se dessiner dans le ciel un arc en ciel, il ouvre la
fenêtre et le voilà chevauchant l’arc en ciel qui l’emporte loin de sa maison,
de son village, de sa vie. Le voici dans les nuages, il traverse le brouillard,
la poussière, le silence profond et se retrouve dans la voie lactée, pour voir
de loin la planète terre mais celle-ci semble tout embrumée. Il y distingue
quelques rares points lumineux vacillants. Des nuages gris voilent
l’atmosphère. Il ressent alors le monde plongé dans le désespoir. Oui il voit
émaner de partout sur la planète des nuages gris de peur, de désolation, de
doutes, d’inquiétudes. Il se rend compte que de partout, se joue le même
scénario. Peu importe la couleur de la peau, sa langue, ses vêtements, le pays
qu’il habite, l’être humain habite la même planète et est habité des mêmes
sentiments. Toutes ces différences ne sont qu’apparences.
La tristesse voudrait gagner son cœur quand
il remarque que sur son arc en ciel, il n’est pas atteint par le paysage de
désolation. Non, il se surprend à observer tout cela, en étant détaché.
Son regard se tourne sur l’arc en ciel où il est posé et remarque que les 7
couleurs brillent, qu’elles se fondent non seulement à ses yeux mais qu’elles
vont jusqu’à atteindre son cœur pour se diffuser en lui. Oui, il devient tout à
la fois, le rouge du rouge-gorge, l’orange de la mandarine, le jaune du soleil,
le vert de l’herbe, le bleu du ciel autant que le violet de la fleur odorante.
Il est couleur, il est senteur, il est Bonheur. Il est en telle harmonie avec
la vie qu’il devient vie, il se sent atome de l’univers. Il devient sérénité.
Cette sensation le porte, le transport,
l’élève. Son cœur est serein, il est si bien ! Il reconnait cette
sensation… Oui il a déjà connu cet état. Il retrouve la mémoire d’une journée
passée avec son grand père au Canada qui lui avait rempli aussi son coeur. Oui,
il se remet en lien avec cette souvenance d’un jour d’automne, où son papy,
grand amoureux et passeur de nature, l’avait initié au Tout Vivant. Son grand
père lui avait expliqué alors que Tout est Un et que la vie venue des
profondeurs de la terre touchait toute la création. Avec son papy merveilleux,
il avait senti la vie. Ensemble, ils avaient marché en caressant le sol, parlé
aux arbres, aux rochers, aux fougères qui se froissaient avant la venue de
l’hiver. Ensemble, ils avaient cocréé un monde d’harmonie entre l’homme, les
vertus, la nature et avaient même fait revenir à la vie les dinosaures, ces
oubliés d’un temps lointain qui avaient vécu là même où il se tenait. Théo est
un garçon qui aime profondément la nature. Depuis tout petit, et encore plus
après son voyage au Canada il a une connexion particulière avec la nature,
principalement les animaux. A chaque rencontre avec un animal, il lui semble
comprendre le langage sans voix qui émane du regard de tendresse
inconditionnelle de ces créatures. Au retour de son voyage, habité par la sève
de la vie, enthousiaste, il avait voulu partager cette trouvaille avec
ses amis, sa famille mais à force de se faire rire de lui, il avait fini par
étouffer cet élan et la sève de la vie était redescendue, attendant la saison
d’un printemps futur où elle pourrait de nouveau circuler. Au-dessus des
nuages, voilà qu’il est dans la lumière, la beauté du monde, la vie dans toute
sa splendeur. Mais plus que cela, il lui semble être lumière et éclairer le
monde. Et c’est ici, dans la voie lactée, qu’il se sent vivant, faire partie à
nouveau de ce Tout. En un éclair, il se met à comprendre que l’univers
lui dévoile un secret. Au ciel, tout est sens. Oui, se dit-il, ce sont les
nuages gris qui empêchent de voir le soleil. Il comprend que les nuages gris
sont les nuages de peur, de doute, des nuages d’égoïsme aussi, des
habitants de la planète et que la lumière est celle de l’espoir, de la foi, de
l’amour !
Sans savoir ce qui se passe, Théo se
retrouve en un clin d’œil de nouveau sur sa chaise, dans sa maison. Rêve ou
réalité, il ne sait plus très bien ce qui s’est passé. Mais réveillé ou
semi endormi, à la fois ici et ailleurs, il prend une grande feuille de papier,
cherche frénétiquement des crayons de couleur qu’il retrouve et se met à
dessiner un immense arc en ciel. Ses yeux semblent être restés dans la
contemplation de la lumière de l’arc en ciel qui s’est révélée à lui, dans
l’infini du ciel. Théo en coloriant cet arc en ciel a les larmes aux yeux, sans
trop savoir ce qui se passe en lui mais il s’exécute à dessiner, colorier l’arc
en ciel. Un éclat de lumière venu de nulle part se pose alors sur son dessin
qui prend soudainement vie et lui parle avec tendresse
« Oh petit ! je suis perdu. Je cherche
à être vu. Je ne suis plus reconnu, on ne me voit plus. Avant, lors de mon
apparition dans le ciel, les gens levaient les yeux pour me voir mais
maintenant, les gens baissent la tête, ferment trop souvent leurs fenêtres,
baissent les volets à peine le jour terminé. Plus personne ne se promène, plus
de nez au vent, plus d’esprit vagabond. »
« Oh » dit Théo
« détrompe-toi, les enfants regardent encore le ciel. C’est comme cela que
moi, je t’ai vu. Continue de briller, bel arc en ciel, continue de briller dans
le ciel. Élève-toi comme si tu avais des ailes. »
« Je cherche un coin de ciel qui voudra
bien me recevoir en invité » dit le bel arc en ciel
« Oh » dit Théo « moi je vais
te faire un ciel qui pourra te recevoir, oui, je vais te colorier un ciel
immense, un ciel d’infini où tu seras un véritable émerveillement. » Et il
se met à colorier un ciel magnifique d’un bleu azur intense, teinté de rêve et
d’immensité. « Regarde mon ciel » dit Théo. « Ne te plait-il pas
? Ne vois-tu pas qu’il t’attend ? Tu es important, bel Arc en ciel, tu es le
lien entre le ciel et la terre, entre le cœur et la tête, tu permets de rendre
visible l’invisible. Viens dans mon ciel, bel Arc en ciel pour y briller de la
lumière de l’espoir car je viens de voir la planète figée dans la tristesse, la
désolation, le désespoir. Né de l’eau et du soleil, tu es un vrai miracle,
rayonne pour montrer que le miracle est possible du moment qu’on y croit. Bel
Arc en Ciel, vois-tu, je vais te mettre ici, à ma fenêtre en signe d’espoir
d’un meilleur à venir. En te disposant ainsi, à la vue du ciel, j’envoie
du petit coin de la terre où je suis, un signal de lumière à l’univers, un signal
qui puisse percer les nuages pour éclairer la voie lactée. J’ai beau être un
enfant, je comprends bien des choses qu’un grand ne comprend pas ou a juste
oublié. On peut être petit et grand de cœur, tu sais… »
Croyez-le ou non ! Au même moment, en
Italie, au Canada, en Espagne, d’autres enfants se sont mis à dessiner des arcs
en ciel. Sans le savoir, les enfants de tous pays se sont, tout comme Théo,
branchés sur la vibration du cœur universel, sur l’égrégore de l’Amour et ont
alors trouvé un trésor d’une valeur inépuisable. Les enfants sont d’une grande
générosité. Ils savent qu’un trésor n’existe que pour être partagé et
s’agrandit en se partageant. Et voilà les enfants du monde entier se tendant
non pas la main mais reliés de par ce merveilleux élan arc en ciel se sont mis
tous à dessiner des arcs en ciel en les faisant déjà briller dans leurs cœurs.
Une chaine de solidarité s’est élevée dans tous les pays du monde entier créée
par les enfants eux-mêmes. Des milliers d’arcs en ciel se retrouvent, aux fenêtres
des maisons du monde entier. Mais, bien plus encore, par le plus grand mystère,
les arcs en ciel égaient aussi les rues, les devantures des magasins. Il y en a
de tous les genres, des amusants, des simplistes, des perfectionnés, des
imaginaires, des réalistes. Sur la toile web, les gens publient leur
photographie avec un arc en ciel. Des grandes villes du monde entier illuminent
des monuments, des ponts, des bâtiments aux couleurs de l’arc en ciel pour
éclairer la nuit. Les gens arborent des vêtements avec son dessin ou avec ses
couleurs, les savonnières d’un village ont fabriqué un savon arc-en-ciel et je
pense que ma liste n’est pas exhaustive. Unanimement, les gens ressentent
l’importance du message de l’arc en ciel.
La vocation profonde de l’homme est d’aimer,
d’admirer et de prendre soin de la vie. Au
ssi, en ces temps de bouleversement
planétaire, l’homme revient à l’essentiel. Coupé des préoccupations qui en
temps ordinaire assaillent son esprit et sa vie, il se reconnecte avec
l’essentiel : son cœur. L’arc-en-ciel, c’est le symbole du beau temps
après la pluie, de la lumière qui éclaire l’ombre, de l’espoir qui élève plus
haut que la peur.
Comprenant que l’arc en ciel des enfants
fait circuler l’espoir, rayonnant une vibration d’amour universel, d’élévation
de regard, d’ouverture d’esprit, l’adulte rejoint l’enfant dans cet élan
fraternel. Des gens inspirés se lèvent pour redonner espoir et marchent en
priant pour l’humanité, d’autres offrent des méditations, invitent à des
visualisations d’arc en ciel tout autour de la terre, des poètes lui offrent
des odes, des chansons inspirent à voler au-dessus. Certains appellent à des
défis afin de faire rayonner en chacun, chacune, son arc en ciel intérieur.
L’arc en ciel s’invite dans le ciel, de tous bords, tous côtés, tous pays
confondus, rayonnant ainsi sa vibration d’amour universel. Tous ces mouvements,
ces communautés inspirées ont choisi pour thème central l’arc en ciel pour
inspirer vers la conscience et permettre de reconnecter avec la paix, l’amour,
la confiance en la vie. Ainsi, de toutes dimensions, de tous pays, les arcs en
ciel habitent tous les ciels, tous les cœurs et se rejoignent dans l’infini
pour converger ensemble en un rayon puissant d’amour de Lumière. Nous sommes
tous UN. Petits et grands, réunis en un même élan, font briller des arcs en
ciel. L’arc en ciel de nature éphémère est devenu permanent et universel nous
permettant d’être unis-vers-ciel (unis vers notre ciel).
Le souhait du bel arc en ciel est exaucé. Il
a trouvé plus qu’un ciel, il a trouvé des cieux infinis et merveilleux pour y
rayonner. S’il est cru oublié pendant un temps, le voici admiré !,
Si vous vous interrogez sur le message du
bel arc-en-ciel… Voici ce que Théo sait et qu’il partage avec grand cœur.
Puisque cela prend de la pluie pour faire un
arc en ciel, il appartient à chacun de faire avec ses larmes de peur, d’égoïsme
et le soleil de son cœur, un arc en ciel qui, s’unissant aux autres arcs en
ciel, devienne un arc en ciel géant de lumière qui éclaire l’univers ! De ton
nuage d’insécurité, dessine-toi aussi un arc en ciel pour t’élever dans la
vibration d’Amour, de Bienveillance envers toi déjà. Cette vibration t’élèvera,
harmonisera ton cœur et pourra rejoindre les autres arcs en ciel en fusionnant
en un arc en ciel géant de lumière qui éclaire l’univers ! Ensemble,
faisons rayonner notre arc en ciel intérieur pour envoyer dans l’univers le
message de notre lumière, nos propres couleurs. Je fais le rêve que de toute
part de la planète, des arcs en ciel s’allument dans les cœurs et s’élèvent
dans le ciel pour élever la vibration de la terre !
L’arc-en-ciel est la promesse d’une nouvelle
aube, d’une nouvelle ère, d’un nouvel Être ! IL est tel un arc d’Infini tiré
dans le ciel qui relie l’être à sa Force Intérieure, tout en l’ancrant dans la
terre.
S’il
arrive de nouveau qu’un arc-en-ciel emporte Théo pour un voyage dans l’espace,
je lui souhaite de pouvoir contempler une planète illuminée aux couleurs de
l’arc-en-ciel. Et cela ne pourra se réaliser que si chaque être humain sur
terre se souvienne de rayonner son essence, soit d’être l’arc-en-ciel dans son
ciel car c’est là, l’essentiel (essence ciel) !
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